Mi-juillet... Chut...
Datte: 05/08/2021,
Catégories:
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... mamelon tressaillant sous le plaisir. Très sensuelle celle-ci, même moi en la regardant j’en éprouve des frissons. Ne pas trop montrer, j’aime rester dans le sexy et subjectif. Trop aussi bizarre de se voir sous ses angles-là, une pudeur resurgit au premier abord puis ensuite vient une certaine gourmandise à me voir exposée… --- Je m’approche de lui, très lentement, sans bruit, foulant les tresses de larges feuilles. Il continue d’être captivé par le ballet incessant des oiseaux. De mes deux bras j’entoure ses épaules, appuyant mes seins contre le haut de son dos. Son visage se tourne et ma bouche cherche la sienne. Ses lèvres s’ouvrent aux miennes. J’aime son baiser, sa langue qui s’enroule et aspire ma salive. Qui se mélange et donne un goût de désir, un goût d’appétit prononcé pour la suite de la soirée. Il m’attire sur ses genoux, je me cale contre sa poitrine, nous continuons la douce danse de nos langues. Ses mains s’égarent dans les replis du tissu. Le haut de mon buste, mes seins sont complètement à l’air libre maintenant. Mes mamelons sous la pression de ses mains s’érigent vers le ciel. Ils réclament d’être happés, sucés, bécotés, mordillés… Un léger cri s’échappe de ma gorge. La caresse se fait tendre, mais combien excitante. Ma main, elle, s’est enfouie dans son bas-ventre, sans peine j’ai trouvé son sexe, tendu, charnu, demandant lui aussi des caresses. M’attarder sur son gland, visqueux, sentir son désir de jouissance. J’aimerais glisser et aller goûter à son ...
... membre, mais nous ne sommes pas seuls sur le lac. Il est presque dix-sept heures, nous allons nous arrêter pour la nuit dans une petite retenue d’eau, un méandre, ils sont nombreux autour du lac. Ylan me soulève et me souffle à l’oreille. — Viens, laissons l’équipage, allons dans les bois. Nous débarquons, dans un coin perdu, esseulés, et avançons sur la berge le sourire aux lèvres. J’ai toujours mon sari rose sur moi, légèrement défait. Au passage, Ylan a pris son sac à dos. La nature est dense, très verte, très fournie, c’est beau, le reflet des montagnes qui plonge dans l’eau sombre c’est grandiose. Une sorte de clairière se présente à nous. Ylan, me tenant toujours par la main, m’approche d’un arbre. — Chut, ne dis rien, laisse-toi faire, me susurre-t-il. De son sac à dos il sort un foulard, me le pose sur les yeux. Je me retrouve dans le noir. Il défait mon sari, je suis nue. Lentement, il me colle à un peuplier, le tronc me râpe la peau, je sens la rugosité de l’écorce. Je me laisse faire, quel moment intense en frissons ! De ses mains il me guide, doucement il joint les miennes l’une contre l’autre, j’encercle l’arbre. Avec une ficelle, je le sens me lier les poignets, il ne serre pas fort, je pourrais me dégager, sans peine. J’ai envie de parler, je me retiens. Je perçois son souffle dans mon cou, et ses doigts qui tout doucement caressent mon dos. Un seul de ses doigts passe sur ma raie des fesses, glisse sous le pli entre le haut de cuisse et le creux de l’aine. ...