La professionnelle - Histoires de Sexe

La professionnelle

Tout avait commencé la veille. Éric était affalé dans un fauteuil, les pieds sur la table basse du salon, feuilletant un magazine tandis que la télé ronronnait en fond sonore. Mireille, son épouse, était montée coucher les gosses. Elle redescendit une demi-heure plus tard, traversant le salon d’une démarche sensuelle dans l’espoir d’attirer l’attention de son mari. Malgré ses efforts et sa tenue sexy – chemisier largement ouvert sur sa superbe poitrine, micro jupe au ras des fesses couronnant de jolies jambes terminées par des socquettes blanches – Éric l’ignorait superbement, tant il était absorbé par la lecture d’un reportage sur un défilé de sous-vêtements à Milan. Elle alla donc s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil et, lançant ses jambes en travers de celles de son mari, l’enlaça et l’embrassa goulûment sans lui laisser le temps de réagir. — Woaou ! En voilà une surprise ! s’exclama le jeune homme, en posant son magazine. Tout en caressant ses jambes nues, il lui demanda ce qui lui valait ce traitement de faveur. Mariés depuis dix ans et parents de deux jeunes enfants, leur vie amoureuse avait cédé le pas à la routine, laissant peu de place à l’imagination ou la fantaisie. — Rien, répondit-elle, je veux seulement faire plaisir à mon petit mari. Éric, dont la main avait rapidement disparu sous la jupe, ne paraissait pas convaincu. D’autant qu’en se glissant sous l’étroite pièce de vêtement, ses doigts avaient découvert la chatte nue et frémissante de son épouse. Sans ...

... être particulièrement pudique, elle n’avait pas vraiment pour habitude de se promener les fesses à l’air. Sans hésiter, Éric poursuivit donc son exploration, enfonçant deux doigts aventureux dans la caverne chaude et humide qui s’ouvrait devant eux. — Tu es sûre que tu n’as pas quelque chose à me demander, ou à te faire pardonner ? Les doigts d’Éric s’étaient mis au travail, l’index et le majeur fouillant avec application les profondeurs de son con, le pouce frottant vigoureusement le clito dressé. De l’autre main, il lui pétrissait les seins avec l’application d’un maître boulanger. — Allez, avoue ! lui dit-il d’une voix cruelle, en torturant les parties les plus sensibles de son anatomie.— Mais, je t’assure… répondit-elle péniblement, avant de pousser un cri strident sous le pincement des doigts d’Éric. Ok, ok ! Arrête, ou je vais exploser sur tes genoux ! Voilà, cet après-midi j’ai été faire les boutiques avec Françoise et j’ai vu un superbe petit ensemble qui me va à ravir. Je suis sûre que tu l’adorerais. En plus, il ne coûte que cinq-cents euros !— Quoi ? s’exclama Éric, que cinq-cents euros ? Mais on peut partir en vacances pendant une semaine, avec cet argent ! Il est temps que tu réalises la valeur de l’argent, ma petite ! Vexée, Mireille voulut se lever mais Éric la tenait encore fermement par le con et la poitrine. — Je pourrais gagner plus en un jour si je le voulais, lui répondit-elle. J’ai lu qu’il y avait des femmes très bien qui gagnaient plus du double en une ...