La professionnelle - Histoires de Sexe

La professionnelle

... seule passe, simplement en comblant les caprices de vieux messieurs fortunés !— Mais ma parole, j’ai épousé une pute ! s’écria Éric. Sans lui laisser le temps de réagir, il fit basculer son épouse sur ses genoux, coinçant ses jambes entre les siennes, de telle sorte qu’elle se retrouva le cul à l’air, dans une position laissant peu de doute sur ses intentions. Clac ! Clac ! Clac !Mireille essayait désespérément de se libérer, mais Éric la maintenait fermement entre ses cuisses, tandis que sa main retombait lourdement sur les fesses charnues, colorant celles-ci d’une délicieuse teinte rougeoyante. — Alors –Clac ! – Madame veut faire la pute ! –Clac ! – Eh bien d’accord –Clac ! – si c’est cela que tu veux –Clac ! – je te propose un marché ! –Clac ! – Demain –Clac ! – tu conduiras les enfants chez tes parents –Clac ! – et le soir –Clac ! – en rentrant du bureau –Clac ! – je viendrai rendre visite à ma pute de luxe préférée ! –Clac ! – Qui sait –Clac ! – si elle comble mes caprices –Clac ! – peut-être qu’elle arrivera à gagner ces modestes cinq-cents euros –Clac ! – dont elle a tellement besoin ! –Clac ! Bien qu’il ait relâché sa prise, Mireille resta de longues secondes dans la même position, frottant en silence ses fesses brûlantes ! — Alors, qu’est-ce qu’elle en dit, ma petite pute de luxe ? Partagée entre la colère et ce plaisir délicieux qui s’écoulait de son entrejambes, Mireille reprit son souffle. — Tu verras bien demain, répondit-elle finalement en se relevant. Sans ...

... même prendre la peine de baisser sa jupe sur le coucher de soleil qui illuminait son derrière, elle quitta aussitôt la pièce pour rejoindre leur chambre. En se garant devant leur maison le lendemain soir, Éric ne savait pas trop à quoi s’attendre.Lorsqu’il était monté se coucher la veille, Mireille dormait déjà. Quelques tendres caresses sur ses fesses encore tièdes n’ayant pas réussi à la réveiller, il s’était endormi contre elle, la bite glissée entre ses fesses, au garde-à-vous devant les portes du paradis, prête à monter au combat au moindre signe de sa belle. Mais rien ne s’était passé et Éric s’était donc levé seul le lendemain matin, abandonnant Mireille aux bras accueillants de Morphée. C’est donc avec une appréhension vite dissipée qu’il sonna à sa porte.— Bonsoir, mon mignon. Bienvenue au « Boudoir des plaisirs ». Je m’appelle Eva et ce soir, c’est moi qui tiens la boutique. J’espère que ça te plaît ?Éric eut du mal à répondre, tant il était subjugué par l’image si différente de son épouse. Elle avait remonté ses longs cheveux bruns en chignon. Des boucles torsadées tombaient de chaque côté du visage, maquillé plus qu’à son habitude. Ses lèvres, surtout, étaient d’un rouge intense, contrastant avec le teint mat de sa peau. Ses yeux ressemblaient à deux grands papillons verts, dont les ailes battaient au rythme de ses longs cils noirs. Sous un déshabillé de soie transparent s’arrêtant juste au-dessus des fesses, elle portait une guêpière de velours rouge garnie de ...