1. Annie profite de la situation


    Datte: 06/08/2021, Catégories: fh, fplusag, copains, fépilée, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, massage, nopéné,

    ... de même de la voir nue à son tour. Je devrais finalement accepter sa proposition. J’ai toujours eu un faible pour elle, même si là, la gêne m’empêchait de lui prouver pour l’instant que j’étais un homme plein de vigueur. — Ça ne te dérange pas si je me colle un peu à toi, Bastien ? Je suis au bord du lit ; si ça continue, je vais tomber. Je n’opposai pas de résistance. Je ne pouvais guère me rebeller de toute façon. Le bout de mes fesses était collé au mur. Je ne pouvais reculer. Elle se blottit un peu plus contre moi. Sa main droite restait sous le coussin pendant que son bras gauche m’enlaçait d’une façon assez naturelle. Sur le ton de la plaisanterie, elle continuait à mener le dialogue : — Tu sais Bastien, si un jour on m’avait dit que je me retrouverais telle une couguar avec un jeune homme nu dans mon lit, je ne l’aurais pas cru. Elle rigolait de plus belle. Son sourire était magnifique. Je la taquinai à mon tour et la chambrai sur son âge comme j’en avais l’habitude. — Tu as raison. Si un jour on m’avait dit que je dormirais avec un témoin de la Révolution, j’aurai sûrement ri. C’est en quelque sorte une rencontre du troisième type. Elle me lança un regard taquin. Je savais que ça ne la blessait pas. On aimait s’envoyer des piques. C’était régulièrement un jeu entre nous. Elle joua tout de même la personne outrée et, avec son bras qui m’enlaçait, elle me mit une claque sur mes fesses rebondies. Je ne protestai pas. Elle laissa sa main sur mon arrière-train. Je crois ...
    ... que j’y avais pris du plaisir. Je continuai alors à la taquiner. — Tu as pensé à mettre ton dentier dans le verre ? Elle continuait à rigoler et me remit une autre claque sur les fesses. Quelle belle sensation ! Annie prenait plaisir à n’en point douter. Elle rigolait toujours autant et ses yeux étaient plongés dans les miens. Ils pétillaient de bonheur. Elle était dans une plénitude intense. Je pense qu’à ce moment-là, elle s’en fichait pas mal d’avoir raté son train. Elle se tortillait dans le lit pour se repositionner. Sa main gauche m’enlaçait toujours autant, posée sur mon fessier. Pendant ce temps-là, elle remettait son bras droit le long de son corps, entre elle et moi. J’étais électrisé. Je sentais ses doigts contre mes testicules et mon sexe. Impossible que ce soit par pur hasard. Elle l’avait sans doute fait exprès. Je ne dis rien ; j’aimais trop la tournure que prenaient les événements. — Tu sais, tu as de belles fesses, Bastien. Beaucoup d’hommes aimeraient être aussi musclés. Elle malaxait à présent avec sa main gauche mes globes. — Heu… merci, c’est gentil. Je dois t’avouer que c’est la partie que je préfère de mon corps.— Je comprends. Tu es un grand charmeur, nu comme un ver. Si je n’étais pas mariée, je serais sans doute tombée amoureuse de toi. Tu ferais un bon parti pour ma fille. Elle a 17 ans et va sur ses 18. Elle rigolait toujours autant. Je ne savais plus où me mettre. Sa main droite était toujours en contact avec mon sexe. Ses doigts commençaient à ...