Annie profite de la situation
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
copains,
fépilée,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
massage,
nopéné,
... ouverture toujours aussi étroite. Elle avait un joli grain de beauté au ras de la lèvre droite. Elle vit que je regardais son bas-ventre, et prestement tira sur son tee-shirt qui cacha son mont de Vénus. — Jeune impertinent ! Au lieu de me reluquer, tu réponds à ma question ? Café ou autre chose ?— Euh, oui… Café, ça ira. Elle avait fait la grosse voix, mais rigolait avant tout. Cette situation l’avait bien fait rire. Elle s’en alla vers la cuisine préparer le petit déjeuner. Finalement, seuls ses seins m’étaient encore inconnus, même si je les avais sentis sur ma peau à travers le tissu pendant toute une nuit. Cinq minutes après, elle regagna la chambre et tira sur les draps. Mon érection matinale avait cessé. J’étais de nouveau tout nu devant elle. C’est la première chose qu’elle remarqua. — Le café est prêt, lève-toi le boire. Après, tu prendras une douche et on trouvera un garagiste. Je la suivis en tenue d’Adam jusque dans la cuisine. Malgré la petite taille de mon sexe, j’aimais à présent m’exhiber devant elle. J’étais certain qu’elle aussi aimait me reluquer. On s’assit sur deux chaises, côte à côte, face à la table. — Si tu viens avec moi sur une plage naturiste, il faudra réellement que tu rases ces poils.— Ah bon ? Elle me fit cette remarque en fixant chaleureusement mon sexe. — Oui. Même si j’aime bien les poils pubiens, c’est pour une question de propreté. Et puis je ne sais pas pourquoi tu as honte de ton sexe. Moi, je le trouve tout mignon. Avec sa petite ...
... taille, ça donne envie de te protéger. Je ne dis rien. Nous finîmes notre café. Je me levai en premier pour aller me laver. Alors que j’étais debout, dos à elle entre nos deux chaises à m’extirper de la table, je sentis une sensation chaude et humide sur ma fesse gauche. Elle me déposait une bise sur mon muscle. Je m’envolai dans les nuages une fraction de seconde. Elle me tenait à présent avec ses deux mains sur mes côtes pour m’empêcher de partir. Elle continua par un suçon sur mon fessier. J’étais au paradis. Cet instant magique dura en tout et pour tout moins d’une minute. Mais ce fut la minute la plus intense de ma vie. Une fois fini, avec sa nonchalance et son air enjoué habituel, elle me mit une claque sur les fesses et me dit : — À la douche, mon doux charmeur ! J’étais de dos ; elle ne pouvait voir mon sexe, mais celui-ci reprenait toute sa vigueur. Une fois seul dans la salle de bain, je regardai pendant de longues minutes en me contorsionnant ma fesse avec la marque que m’avait laissée Annie. La douche plutôt froide me fit du bien, à moi et à mon appareil génital. Annie avait parfaitement joué avec moi durant cette nuit. Elle m’avait pris au dépourvu. Merci, la SNCF ! Tout cela découlait d’un train qui n’avait pu partir. Décidément, cette Annie est une femme à part. Je crois que je tombais réellement amoureux. C’est si beau, une femme nue… Un garagiste nous dépanna finalement, et très vite nous retrouvions notre vie habituelle. Nous ne parlions plus entre nous de cette ...