Les Aventures de Barbara IV
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... sourient. Soudain la plus jeune feint un nouveau baiser sur la bouche, mais plonge adroitement vers le cou pour une offensive surprise ! Bisous, léchouilles, mordillements, tout y passe. Les bretelles bleu nuit glissent sur la peau lisse, bronzée et tachetée que Barbara aussitôt dévore, épaule droite, épaule gauche, cou encore, et de nouveau épaule toujours en évitant la bouche de Séverine qui, déjà en perdition, toute prête à se rendre, incline amoureusement sa tête, de ci de là, pour suivre chaque action de sa belle maîtresse. Elle est vaincue. Barbara veut lui ôter son petit haut, et Séverine docile lève ses deux bras. À peine en est-elle débarrassée, le vêtement encore accroché à ses poignets, c’est un nouveau baiser. Sur la bouche, finalement, alors sa langue peut exercer son agilité, mais brièvement, car les lèvres de Barbara lui échappent encore : elles ont trouvé son sein gauche. Une poitrine de taille modeste, un rien tombante, mais ornée d’extrémités brunes très bien formées comme de vraies tétines pour bébé, douces au toucher et très, très érectiles. Barbara s’en souvenait, elle en raffole. Elle a refermé ses lèvres sur le petit dôme de chair tendre et lui impose une succion continue, le sentant littéralement gonfler à l’entrée de sa bouche et sous sa langue, qui en chatouille ponctuellement la pointe. Puis c’est le tour du téton droit (tâches de rousseur, encore, dans la vallée des seins), qui sans aide a déjà pris un beau volume, tandis que de ses doigts Barbara ...
... juge de la fermeté du premier mamelon déjà traité. Séverine, conquise comme à chaque fois, ravie, transportée, a plaqué ses mains contre le mur en signe d’abandon. Elle sent son entrecuisse s’inonder de successives vaguelettes de cyprine, toujours plus fréquentes alors que son cœur bat la chamade. Mais elle se veut plus active pour honorer son amie ; elle tente de la dévêtir, au moins partiellement, sans interrompre leur jeu. Ses mains cherchent et défont quelques boutons du corsage de Barbara, et parviennent même à en extraire un pan hors de la jupe étroite, mais la victorieuse lui échappe encore en s’agenouillant pour défaire ses escarpins, puis sa ceinture, et zipper la fermeture-éclair de son jean. Bientôt il rejoint par terre le petit haut bleu nuit, suivi d’un string noir, trempé. Séverine pose son pied droit, nu, sur le rebord de la cuvette du WC pour bien offrir ses sentes intimes à sa chérie. Brune sa chair, très tendre et bien épilée à l’exception d’un joli parement de duvet noir au-dessus du sanctuaire ; rosée la perle du clitoris au-devant de la langue tendue, frétillante, serpentine. Doigts de Séverine dans les cheveux de sa tourmenteuse, gémissements étouffés de tonalité grave, légers soupirs… la jouissance est toute proche. Mais l’amie inspirée crée encore la surprise, prenant vite du recul pour fondre brusquement bouche grande ouverte sur l’intérieur d’une cuisse et la mordre, sans v******e mais avec une absolue gourmandise ! Quelle joie pour Séverine, tant de ...