Les Aventures de Barbara IV
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... trouvent le clocheton d’amour. Pour Barbara la sensation est trop douce, elle veut affermir sa position mais… mais son pied glisse sur l’un des vêtements éparpillés sur le sol et elle manque de perdre l’équilibre. Dans un réflexe sa main droite cherche appuis contre le mur qu’elle percute sans précautions : le bruit est assez fort pour interrompre net le jeu des amoureuses. Barbara tourne sa tête et rencontre le regard inquiet de Séverine, puis toutes deux considèrent la paroi. Contrairement au mur opposé contre lequel elles s’étaient abandonnées sans risque, il ne s’agit là que d’un simple panneau de contreplaqué blanc. Leurs regards remontent de concert et constatent que la mince barricade s’arrête à environ cinquante centimètres du plafond, laissant un espace béant entre le cabinet voisin et le théâtre de leurs opérations. Heureusement, personne ne les a surprises, et les deux complices partagent un soupir de soulagement amusé. Tout est pour le mieux puisque sous l’effet de la glissade intempestive de Barbara, le godemiché s’est enfoncé tout net de plusieurs centimètres supplémentaires, et la sensation en est tout simplement somptueuse. Stabilisée, Barbara peut tendre son autre main qui s’affermit contre le solide mur de gauche. Les bras écartés, elle peut parfaitement réguler ses mouvements et commence de lents va-et-vient, bien contrôlés par l’harmonieuse vigueur de ses cuisses, parfaitement entraînées à ce genre d’exercices. Toujours ce gland volumineux, proéminent ...
... comme un gros champignon élargit son intimité sans qu’elle parvienne trop à comprendre si ce sont les allers, ou les retours, qui lui procurent le plus de délices… Elle alterne donc les uns et les autres, en quête d’éléments de comparaison ; et Séverine contemple. Sa main restée active s’est à son tour reposée au bord de la cuvette, tandis que ses tétines en émoi ont maintenant presque doublé de volume. Elle laisse ses regards couler le long du dos, des reins, des fesses de sa cavalière, avant de remonter pour s’attarder sur les détails délicats de la lingerie, broderies, dentelles, et l’attache nacrée du soutien-gorge. Jamais le mot parure ne fut plus opportun. Cependant, Barbara se rend bientôt compte que cette position ne lui permet plus une pénétration aussi profonde qu’elle le désirerait désormais. Elle se redresse donc – quelle sensation indescriptible quand le membre qu’elle enfourchait se décoquille en forçant la sortie ! Elle se retourne, et immédiatement Séverine fait le geste de se lever, toute dévouée qu’elle est à se prêter à une nouvelle posture, si bien qu’il faut la prier, d’un geste léger, de rester en place. Barbara s’assiéra à califourchon sur elle, tout simplement, et sans aucune aide la verge un instant libérée retrouvera son logis, enfreignant de nouveau la vulve pour glisser cette fois sur toute sa longueur, avalée toute entière, jusqu’à ce que les cuisses de l’intrépide amante se reposent sur celles de sa monture. Les deux sont enlacées, et la tendresse ...