1. J'avoue tout


    Datte: 06/08/2021, Catégories: fh, hh, fhh, couple, couplus, hépilé, collection, amour, hsoumis, fdomine, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme hgode, hsodo, init, poésie, journal,

    J’avoue, je vous avoue… J’avoue, être attendri par les aveux qu’on vous fait, par les aveux qu’on se laisse dire J’avoue, par les femmes, j’ai beaucoup appris. J’avoue, avoir été un peu gêné et gauche quand Aicha, mon premier amour de 18 ans, m’a entraîné, à ma grande surprise, dans la partie « non-textile » de ce camping en Croatie. J’avoue, c’est avec elle que j’ai tout juste commencé à dépasser une pudeur paralysante quand, par exemple, elle m’a gentiment huilé et massé les fesses. J’avoue, quand Maryse, s’allongeant nue sur le ventre et soulevant à peine ses fesses, m’a murmuré : — Fais ce que tu veux de moi ! Je dois bien l’avouer, ce jour là, je n’ai pas été à la hauteur. J’avoue, Fabienne, une théoricienne féministe de la réciprocité, savait me pousser à m’abandonner, à lui offrir mon cul d’homme, avec la même ingénuité qu’elle m’avait fait don de son charmant cul à elle… C’était devenu comme mon doux refuge à moi, son petit trou du cul si mignon, une grotte cachée à l’écart des chemins, au milieu de la vallée étroite de ses fesses de femme, où elle savait me guider et m’accueillir avec tendresse, où ma queue venait retrouver cet abri secret quand partout ailleurs grondait l’orage… J’avoue Françoise m’a fait faire de grand pas. J’avoue comme j’étais ému, je n’oublierai jamais la première fois, quand elle m’a murmuré à l’oreille : — Prends mon cul, mon chéri ! J’avoue, Françoise a le plus charmant petit trou du cul du monde… J’avoue, avoir cédé à son petit caprice de ...
    ... femme et m’être épilé pour elle, recto comme verso… avec ce trouble incertain, avec cette attente et ce plaisir de me savoir tout disponible pour elle, avec ces petits soins presque féminins qui me donnent l’allure d’une statue antique d’athlète grec, dans cette ambiguïté qu’elle m’a fait révéler, à la fois tout imberbe, tout nu d’innocence, à la fois terriblement impudique… J’avoue, avoir appris à m’offrir moi aussi à elle, quand presque inconsciemment, je soulève mes fesses abandonnées, qui avouent, comme malgré moi, leur désir… J’avoue, elle me faisait gémir d’amour et de bonheur, dans ce trouble nouveau, comme si j’étais une jeune fille farouche mais timide qui fait don, pour la première fois, de son corps, sans plus aucune réserve J’avoue, Françoise, c’est ma chérie, mon enculée adorée, ce qui n’empêche pas, bien au contraire, qu’elle soit aussi ma douce enculeuse à moi. J’avoue, elle m’a « éduqué » pour ainsi dire, mais avec une infinie tendresse. J’avoue, Françoise m’a bouleversé quand elle m’a avoué aimer mon « côté un peu pédé qui se révèle ». J’avoue, n’y avoir jamais pensé avant. Mais quand elle m’a demandé : — Tu aimerais avec un homme ? J’avoue, j’ai bafouillé, mais j’ai fini par avouer, elle me tentait de plus en plus… J’avoue cette folie des aveux croisés, stimulés chacun par l’autre : — Te voir sucer un autre homme, mon chéri, j’avoue j’aimerais…— Moi aussi, et tu m’aiderais ?— Laurent, tu oserais devant moi ?— Je le ferai ma chérie… je serais si content de te ...
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