J'avoue tout
Datte: 06/08/2021,
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... faire plaisir, tu serais ravie de me voir faire… je crois, j’aimerais même, qu’il m’encule. N’avouez jamais. Plus facile à dire qu’à faire… J’avoue, que ce soir-là, à la voir avec Julien, je n’ai eu aucune jalousie. Elle distribuait ses baisers entre nous avec une équité souveraine et gracieuse… Et la mutine, prenant nos deux sexes en main, s’amusait, toute curieuse, à les approcher l’un de l’autre… J’avoue, Françoise a su nous conduire tendrement, nos deux queues mâles unies par sa main, se joignant, se cherchant déjà mutuellement… J’avoue, je me suis penché sur elle et sur lui, avec une double envie, et, merveille ! J’avoue, ma reconnaissance à Françoise qui a guidé sa belle queue sur mes lèvres, moi qui n’osait pas encore. Comme une nouvelle Amérique… quel bonheur ! Oui j’avoue, ce bonheur neuf et si simple, mes lèvres qui rejoignaient celles de Françoise autour de cette jolie queue si neuve, si tentante. J’avoue, l’avoir engloutie, ravi de la posséder à moi seul ; j’avoue, c’est si doux aussi une queue d’homme… J’avoue, oui, mon plaisir à le sucer avec gourmandise, avec application comme une jeune fille amoureuse, toute à la joie de son premier amour… J’avoue, mon émotion à me renverser au-dessus de Julien, avec l’envie de le dévorer, avec un zeste de trouble à m’exposer tout à lui. Tout comme quand Françoise guidait mes premiers pas d’enculé amoureux… Et ce bonheur qui nous emportait ! À nous sucer tendrement entre hommes, heureux des encouragements de Françoise, de ...
... son regard quasi maternel, heureux de la savoir ravie de nous voir nous sucer entre hommes, chacun de nous mangeant, suçotant le délicieux sucre d’orge de l’autre ! Heureux de la savoir heureuse de notre plaisir à nous deux, ses « chéris ». Il faut que je vous avoue, tout… Je n’ai pas pu m’empêcher de leur abandonner, plein d’émotions mon cul… Mon cul qui avouait tout lui aussi, avec son envie impatiente, tendrement préparé, tout tremblant et ému, mais follement désireux de sentir, enfin, une bonne queue qui le pénètre et le défonce… Un continent vierge, qui attendait son Conquistador… J’avoue comme Françoise a su éveiller la sensibilité, le désir, l’impatience, de mon petit trou à moi, de mon petit trou du cul d’homme. Oh Françoise, comme je te suis reconnaissant pour tes conseils, tes suggestions, de m’avoir aidé à le débarrasser de tout poil. J’avoue, sentant cette queue que je désirais, heureux à présent d’exciter moi aussi leur désir, les fesses impudiquement cambrées, je me suis retourné vers eux, un peu comme les actrices des films pornos. Mais moi, j’avoue, c’est différent, je ne n’imitais rien… J’étais plein de désir amoureux, j’ai gémi : — Prenez-moi ! prenez-moi ! enculez-moi ! encule-moi, Julien ! encule-moi ! J’avoue, je me fondais en Françoise, lui aussi, je l’aimais, j’aimais sa queue attentive et douce, et pourtant si dure qui m’écartait le cul, me poussait plus loin en Françoise… j’avoue notre plaisir commun et unis à tous les trois, où de mon cul d’homme à ma ...