Nouveau départ bonus : une journée au club libertin - Histoires de Sexe

Nouveau départ bonus : une journée au club libertin

... copines, ils se sont allongés à leur tour sur le tapis et ont franchi le pas. Ils sont en train de se sucer mutuellement sous le regard émoustillé de leurs copines qui se masturbent tout en les regardant faire. Lorsque Tristan et Arnaud arrivent à leur hauteur, ils se mettent à éjaculer l’un après l’autre tout en gémissant fortement sous l’effet de leur jouissance perverse. Encore peu habitués à la fellation, ils préfèrent fermer la bouche, ne recevant qu’un minimum de sperme au fond de leur gorge, mais un maximum sur le visage. Ils se retrouvent bien embêtés, mais leurs copines, très fières d’eux, viennent les secourir en léchant tout ce qu’ils ont reçu sur la figure. En contrepartie, elles les embrassent goulûment, leur faisant malgré tout partager copieusement le sperme qu’elles ont conservé dans leur bouche. Ils viennent de partir tous les quatre prendre une douche bien méritée, lorsque Sandrine est de retour. Elle n’est pas peu fière de pouvoir enfin exhiber sa vulve toute lisse à ses amis. Toujours habillée de sa guêpière et de ses bas, elle prend un grand plaisir à s’observer dans les miroirs qui font face aux douches. Le bustier affine sa taille, ses gros seins, mis en valeur par l’absence de bonnets, sont magnifiques. Elle ne peut s’empêcher de se les caresser tout en s’admirant. Ses tétons se mettent alors à pointer, Arnaud et Tristan, qui viennent de se placer de chaque côté d’elle ne peuvent résister à la tentation de les sucer. Quand à Sandrine, elle doit prendre ...

... congé de ses amis, car c’est maintenant à son tour d’aller se faire épiler. Alors qu’il est en train de lui introduire deux doigts dans la fente, Tristan s’adresse à son amante. — Alors, es-tu contente des services de Sophie ?— Qui est Sophie ?— L’esthéticienne.— C’est un homme qui s’est occupé de moi. Tu ne l’as pas remarqué, tout à l’heure ?— Si, mais je pensais que Sophie n’était pas loin.— Non. Mais ce n’est pas grave, celui qui s’est occupé de moi était tout à fait sympathique. Il ne portait rien d’autre que son paréo. Lorsqu’il a commencé à m’épiler la fente, il s’est mis à bander, et son sexe a soulevé le tissu. Je voyais assez bien ses bourses épilées et sa longue bite toute lisse.— Pas mal. Et as-tu osé aller plus loin ?— Un peu. Comme il me disait qu’il était désolé, je lui ai dit que ce n’était pas grave et qu’il n’avait qu’à se mettre à l’aise s’il le voulait. Et c’est ce qu’il a fait. C’est comme ça que j’ai pu voir qu’il était totalement glabre et aussi intégralement bronzé. Il a terminé de m’épiler en restant plus ou moins en érection jusqu’au bout. Arnaud, qui a beaucoup apprécié cette anecdote, s’adresse alors à son ami. — J’y pense tout d’un coup, mais si Maîtresse Sophie n’est pas là, c’est peut-être qu’elle est au donjon.— On peut y aller ?— Ça dépend des clients. On va voir ?— D’accord. Les trois amis retournent donc à l’étage, en direction du seul stand qui est clos par une porte. Le mystère demeure toujours sur ce qui se passe dans l’espace réservé aux ...