Nouveau départ bonus : une journée au club libertin - Histoires de Sexe

Nouveau départ bonus : une journée au club libertin

... adeptes du SM. Après avoir frappé trois fois avec le lourd anneau de fer forgé, comme indiqué sur la porte, une étroite lucarne s’ouvre, laissant apparaître le visage d’un homme, dont le visage est recouvert d’une cagoule de cuir. — C’est pour quoi ? Tristan prend la parole. — Est-ce qu’on peut entrer ?— Oui. Après les avoir fait pénétrer, ils se retrouvent dans la pénombre, sans la moindre explication, l’homme, qui est nu, à l’exception de sa cagoule, masturbe silencieusement Arnaud et Tristan jusqu’à ce qu’ils soient en érection, sous le regard étonné de Sandrine. Ils passent ensuite un épais rideau de velours noir et arrivent enfin dans la pièce principale, décorée dans le plus pur style SM, façon salle de torture, avec des murs de pierre sur lesquels sont fixés des anneaux et des chaînes à diverses hauteurs. Une table en chêne, pourvue elle aussi d’anneaux et de chaînes, et divers autres accessoires typiques, complète harmonieusement le tableau. Au milieu de la pièce, assise nonchalamment au bord de la table, un pied sur un tabouret, Maîtresse Sophie. Habillée d’un bustier en cuir qui, ne cachant pas sa poitrine imposante, la met magnifiquement en valeur, elle est par ailleurs chaussée de cuissardes assorties à son bustier. Ses cuisses légèrement écartées offrent une vue imprenable sur son sexe entrouvert, surmonté d’une touffe rectangulaire de poils bruns. Une cordelette se laisse deviner, probablement rattachée à des boules de geisha. Maîtresse Sophie reconnaît ...

... immédiatement Tristan. Elle prend la parole, sur un ton sec et sans appel. — Toi, je sais pourquoi tu es venu me voir. Déjà, la dernière fois, tu n’arrivais pas à détacher ton regard de mon sexe. C’est bien ça ? Tristan opine de la tête. — Oui. La réponse de Maîtresse Sophie est encore plus sèche. — On dit « Oui Maîtresse » !— Oui, Maîtresse.— Bien. Mais si tu veux me goûter, tu devras passer des épreuves. Elle s’adresse ensuite à Arnaud. — Et toi, que veux-tu ?— Je suis venu accompagner mes amis. Elle se lève et s’approche de lui, une cravache en main, l’air menaçante. — Pardon ?— Euh… Je suis venu accompagner mes amis, Maîtresse.— C’est mieux. Mais je pense que si tu es venu ici, tu te doutes bien que tu ne seras pas que spectateur.— Oui, Maîtresse.— Bien. Quant à la jeune femme qui vous accompagne. Sandrine sent un frisson la parcourir pendant que Maîtresse Sophie s’approche d’elle. — Tu me plais bien, toi. Tes cheveux, tes seins, ta corpulence, j’ai l’impression de me voir. Veux-tu bien m’assister dans mon travail ? La jeune femme lui répond alors, tremblante. — Oui, Maîtresse. Son interlocutrice s’adoucit soudain et lui sourit. — Non. Pas de ça entre nous. Appelle-moi Sophie et tutoie-moi. Ici, seuls les hommes doivent m’appeler Maîtresse.— D’accord Sophie.— Je pense que nous allons bien nous entendre. Tout en disant cela, elle se rapproche encore plus de Sandrine, prend ses gros nichons dans ses mains et se met à les peloter. Quand à Sandrine, elle ne sait trop que faire. ...