1. La robe chamarrée


    Datte: 07/08/2021, Catégories: f, fff, fplusag, jeunes, cadeau, vacances, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init,

    ... des doigts sur le dessus de la cuisse, un peu comme la bébête qui monte et qui descend. En souriant. Je frôle seulement. Elle a un soubresaut mais elle laisse faire. Margrit roucoule. — Relaxe… Profite de la vie, ma chérie… Tu réalises tout ce que tu as manqué jusqu’à présent ? lance-t-elle comme pour se rattraper. Sérénissime, Son Altesse ! Elle nous observe, d’abord du haut de sa grandeur, le genou sur le bord du canapé. Et elle se met à défaire les boutons de mon chemisier, s’amuse à le tenir entr’ouvert, guette chez Stéphanie une réaction qui ne s’exprime qu’en pointillé. — Tu peux glisser la main… ça ne mord pas, lance-t-elle, mi-figue mi-raisin. J’aurais voulu qu’on regarde les étoiles. S’est-elle retenue, mademoiselle ? N’a-t-elle juste pas osé ? Les coups d’œil de Margrit m’incitent à la « démagogie active ». Ceux d’une petite oie moins blanche qu’il n’y paraissait m’interpellent plus encore. Je me repasse l’instant où elle me tend le « Elle » et le pose sur la table du dîner. Je revois son sourire fraise-rhubarbe… Alors des questions, oui. Parce qu’il y a des signes qui ne sont pas dus qu’à la seule intuition. Sa dégaine, les sourires entre parenthèses, et puis cette façon d’embrasser. Pas vraiment néophyte ! Jouer les ingénues parce qu’on est le centre de l’attraction, ça n’engage pas trop et ça force l’autre à se découvrir. Toutes les filles aiment ça. Margrit allait-elle encore longtemps se laisser mener en bateau ? Trouver la manière ! J’aurais pu ne rien dire. ...
    ... Penser à haute voix n’était pas plus nul, en l’état. Je me risque. — Peut-être qu’un tactile plus… dirigé ? L’image me plaisait pour tout ce qu’elle englobe. Margrit acquiesce, ravie que je me décoince. Je prends la main de Stéphanie, la guide vers l’échancrure. Le « toucher »… c’est dans les gènes. — Mais nooon… elle va y venir toute seule sur tes nénés… si tu t’occupes un peu des siens. Et pourquoi ne pas vous embrasser encore un chouia ? renchérit-elle. Je passe sous les cheveux, saisis la nuque. Un long baiser tout mouillé et les yeux qu’on ouvre tout grand parce qu’on se veut surprise. Margrit est aux anges. C’est prodigieux le baiser d’une aînée… Un prodige qui ne tient qu’à un fil. Infiniment conducteur le fil, lorsque le bout d’un sein se fait magnétique et que le visage s’irradie. Gentiment contagieuse aussi, l’interaction de « vos mains sur vos petites doudounes », dixit en riant madame notre hôtesse. Il y avait dans l’air cette légèreté de l’être et l’insouciance que crée le champagne mêlé à un zeste de chartreuse. — Oh, mais il y a encore des trésors cachés. Et j’adore la chasse aux trésors, s’exclame encore une Margrit toute à « son affaire. Elle se concentre sur la petite culotte noire à la bordure jaune, soulève l’élastique à la taille, tend un peu et, soudain… le petit clac sec du relâchement intempestif, avant de venir écarter la lisière du bas, tout contre l’intérieur de la cuisse. « Plus commode et aussi efficace qu’une ingérence verticale, non ? » Ouais. ...
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