1. Innocente mais impudique Manon


    Datte: 07/08/2021, Catégories: jeunes, freresoeur, vacances, plage, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation massage, nopéné, uro, portrait, prememois, Inceste / Tabou

    ... glissai ma tête entre ses jambes. Me relevant je la portais sur mes épaules. Surprise elle gesticula puis accepta cette situation. — Je voulais faire pipi, me dit-elle.— Pas sur mes épaules, lui répondis-je. Nous restions ainsi, parlant de tout et de rien, les cuisses de ma sœur autour de mon cou. Et ma nuque ? Qu’est-ce qui collait à ma nuque ? Il fallait absolument que je pense à autre chose. — J’ai besoin de faire pipi, si tu ne me lâches pas, je le fais sur ton dos, répéta-t-elle. Je n’en fis rien, me disant qu’elle n’oserait pas. J’ai eu tort, elle a osé. J’ai eu soudain très chaud derrière ma tête et dans mon dos. — J’en avais trop envie, murmura-t-elle. Et puis on est dans l’eau. Je ne saurais dire ce que je ressentis. Aucun dégoût, c’est certain. Une sorte de plaisir, comme si, Manon et moi, étions si complices, si intimes que rien ne pouvait nous choquer. Je m’imaginais ce sexe ouvert, collé à mon dos, laissant s’échapper ce qu’elle ne pouvait, ou ne voulait plus retenir. J’en fus très troublé et une forte érection apparut. Manon descendit en se débattant car je la tenais fermement pour la punir de ce qu’elle m’avait fait et nous nous trouvâmes face à face, collés l’un à l’autre, elle pendue à mon cou, ses jambes entourant mon bassin car je le tenais serrée contre moi, mes mains sous ses fesses, pour l’empêcher de s’enfuir. Je sentis soudain que ma verge, dressée entre ses cuisses largement ouvertes, se trouvait en contact avec son sexe. Je la lâchai alors, ...
    ... conscient de la situation pour le moins ambiguë. Comment allait-elle réagir ? Je m’en voulais déjà de ne pas l’avoir lâchée plus tôt. Je ne voulais surtout pas qu’elle se méprenne, je n’avais aucune intention malsaine à son égard. Elle n’eut aucune réaction car, mes mains, et surtout mes doigts, touchant involontairement ses poils, elle ne se posa même pas la question : c’était un de mes doigts qui avait glissé puisqu’elle bougeait beaucoup. Elle me fit une grosse bise sur la joue et replongea comme si de rien n’était. Et nous poursuivîmes nos jeux redevenus innocents. Revenus sur la plage, nous nous allongeâmes sur nos serviettes, rapidement séchés par le soleil qui ne tarda pas à nous brûler la peau. — Je suis trop bien mais je crains le soleil, me dit Manon, allongée sur le dos, lunettes noires sur les yeux.— Tu ne veux tout de même pas que je te passe de la crème ? lui dis-je, feignant d’être outré par sa demande non formulée mais tout de même claire.— Si, se contenta-t-elle de répondre. Comment refuser ; je ne voulais pas que sa peau de blonde rougisse mais je ne savais pas, après ce qui venait de se passer, comment mon corps allait réagir à ce contact. Je me décidai à essayer, d’abord son visage : — Enlève tes lunettes ! Puis son cou, ses épaules, ses bras, son ventre, ses hanches, ses pieds, ses mollets, ses genoux, largement écartés évidemment, puis ses cuisses, mais pas très haut. — Voilà ! lui dis-je.— Tu appelles ça me protéger, tu n’as rien mis sur la peau fragile de ma ...
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