1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (7)


    Datte: 07/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... le liquide dont il trouvait pourtant le goût infect. Ensuite, elle se mit à genoux afin de positionner sa vulve au niveau de la bouche du garçon, qui rencontra une pilosité abondante et longue, ce qui n’était pas pour lui déplaire quand bien même lespoils entraient entres lèvres. — Suce, esclave, ordonna-t-elle sans aménité. Applique-toi. Vois-tu, j’ai un problème : je suis sadique, littéralement. Cela veut dire que je ne peux jouir qu’en faisant souffrir mon partenaire. Aussi, plus j’aurai de plaisir, plus les décharges électriques que je t’enverrai seront fortes. A toi de m’accompagner : mon orgasme sera celui de ta douleur. Et pourtant, je veux que ce soit toi qui me lèches. Si tu n’adhères pas à ma folie, si cela ne t’excite pas, tu peux partir, tant pis. Tu es d’accord ? — Oui, je suis d’accord. Faites-moi subir tout ce que vous voulez. Le bout de sa langue se mit à agacer le clitoris avec zèle et détermination. Dès que la femme ressentit les premières ondes de volupté la traverser, elle tourna légèrement le bouton, ce qui fit sursauter le garçon qui éprouva un fort picotement dans ses pieds et ses testicules. Cela restait supportable, mais elle était seulement en phase de plateau, et il se demandait ce qu’il allait subir lorsque l’orgasme allait, inévitablement, déferler. Il avait un envie furieuse d’aller jusqu’au bout de ce jeu pervers, c’est à dire jusqu’à des douleurs extrêmes. Ces sensations, il ne tarda pas à les connaître. Quand sa partenaire atteint la ...
    ... jouissance d’un clitoris longuement stimulé par une langue agile, la tension des décharges électriques finit par atteindre un niveau littéralement insupportable. Il avait l’impression que mille petites aiguilles s’enfonçaient dans ses testicules, et que les os de ses pieds étaient broyées un à un jusqu’à les réduire en miettes. La souffrance le fit hurler à fendre l’âme. En retour, la fille éclata de rire, puis lui cracha à la figure. — Tu suces bien, mais tu es bien peu courageux, petite mauviette méprisable. Nous n’en étions qu’au commencement. Elle infligea encore plusieurs longues minutes de ce supplice au pauvre garçon qui se tortillait désespérément et s’égosillait à force de crier, traversé par d’abominables ondes d’une douleur indescriptible. Simultanément, elle se masturba et s’offrit un nouvel orgasme inspiré par les tourments abominables de Markus. Puis elle coupa l’alimentation électrique, car elle savait que poursuivre trop longtemps pouvait s’avérer dangereux. Elle le libéra de ses liens, mais il garda son bandeau sur les yeux. . — Si tu veux que je te laisse tranquille, il faudra me convaincre. A genoux, misérable imbécile. Tu ne mérites pas de lever tes yeux, même bandés, vers moi. — J’aimerais vous réciter un poème que j’ai écrit pour vous hier soir, quand j’ai su que je vous serais vendu à votre maman. — Tiens donc ! Dis toujours, poète de mes fesses... Je ne suis pas un homme, à peine un excrément Un étron déféqué un matin aux toilettes Qu’on chie et qu’on oublie ...