1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (7)


    Datte: 07/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... d’une façon complète En allant à la selle, un puant élément. S’il vous en vient l’envie, voici le sucement De vos petons jolis, vos plantes gentillettes, Vos orteils à l’odeur de sueur d’une athlète Dont je vous nettoierai la buée prestement. Cependant s’il vous plaît d’infliger la souffrance, De causer ma douleur avec force et outrance, Je me tiens volontiers disponible et soumis. Soyez, dame, cruelle avec moi, votre esclave. Torturez-moi beaucoup : cela vous est permis Donnez-vous du plaisir, ô maîtresse suave ! dtndxxkc — Pas terrible, comme sonnet ! Certaines rimes sont téléphonées : il te reste du travail pour t’améliorer. Le « puant élément », c’est nul, comme fin de quatrain. De plus, on ne fait pas rimer un pluriel avec un singulier, comme « toilettes » avec « complète » et « gentillettes » avec « athlète ». Pour chacune de ces regrettables erreurs, je vais t’envoyer cinquante volts dans les parties intimes. A coup sûr, la prochaine fois, tu écriras des vers qui tiennent la route. Allonge-toi de nouveau : puisque tu les proposes si aimablement, et que je vois que cela t’excite, puisque tu bandes comme un jeune taureau en rut, je vais te ...
    ... torturer encore en ajoutant d’autres électrodes en différents endroits de ton corps. Afin d’éviter qu’il voie son visage en étant de nouveau couché sur le dos, elle lui remit son bandeau sur les yeux, l’attacha de nouveau et positionna des électrodes, non seulement sur les pieds et les testicules, mais aussi le pénis, les tétons et les oreilles. Ensuite, elle programma son équipement pour envoyer des décharges régulières sur un rythme automatique et vint rejoindre sa mère sur la balancelle, après avoir appuyé sur le bouton « start ». La mère et la fille, lesbiennes incestueuses, s’aimèrent d’une manière torride, allongées tête bêche dans la position du soixante-neuf. Tandis qu’elles se broutaient mutuellement le minou, leur plaisir était sadiquement démultiplié par les abominations que subissait Markus, qui tressautait sous l’effet des chocs électriques. Lorsqu’elles eurent enfin leur content de cruelle volupté, elles détachèrent leur victime épuisée. Le garçon n’en pouvait plus et pouvait à peine tenir sur ses jambes, de sorte qu’il fallait le soutenir pour qu’il retourne à l’institution religieuse raconter ses mésaventures à ses compagnons médusés. À suivre. 
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