La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1057)
Datte: 08/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – Des plaisirs totalement inconnus d’eux ou d’elles... Ces découvertes ayant été faites, je m’adonnais tous les soirs à ce qui était devenu un rituel, la délicieuse masturbation clitoridienne. Selon que j’avais du temps ou pas, de toute façon, je jouissais tous les soirs au moins trois fois et quasi toujours puissamment. Mais les samedi soirs, il en était toute autre. Cet ami, le clito, devenu très cher, très présent, allait se montrer plus coquin que ce que je pensais au début. Il lui arrivait, plusieurs fois de se manifester au cours d’une journée… J’appris très vite, par exemple à lui « parler » n’importe où. J’étais en classe par exemple, comme beaucoup de femmes, je croisais les jambes. Ainsi, je compris assez vite, que les jambes croisées, en contractant les muscles de mes cuisses, j’arrivais à communiquer avec mon très cher et encombrant ami devenu un peu ‘dictateur’. Et, ma foi, bien que différentes, les sensations n’en étaient pas moins intéressantes, car mon ami, me permettait de m’évader mentalement, pendant des cours ennuyeux sans que personne ne s’aperçoive que quoique ce soit, qui se passait en moi et sous la table. Dans la journée, le moindre mouvement de mes jambes, faisait bouger les lèvres de mon sexe et donc, massait doucement mon petit bouton rose car toujours semi rigide… Le résultat est qu’il me faisait rester quasiment en permanence ...
... à penser à lui et aux plaisirs qu’il me donnait quand j’allais plus loin. Petit clito, tu deviens tyran ! … Un jour, pendant un cours d’anglais, et bien que ce cours me passionnait, (je trouvais le professeur de Terminal très beau et sympa), alors que ma jambe droite était sur la gauche, instinctivement, je contractais les muscles de mes cuisses, enserrant ainsi et massant mon tendre ami. Ce jour-là, comme souvent, je portais des bracelets au poignet gauche. Alors que je poursuivais mon massage secret, le professeur m’invita à passer au tableau. Excellente élève en classe, ma dissertation étonnait à la fois le professeur mais la classe entière. Je ne répondis pas à la demande du professeur, comme, ne l’ayant pas entendue. Le prof se leva donc, vient vers moi, tandis que j’étais en train de serrer fortement mes cuisses, ayant déjà atteint une sorte de point de non-retour orgasmique. Il renouvelle gentiment sa demande : - Isabelle, veuillez passer au tableau, s’il vous plait ! En me redemandant de passer au tableau, le professeur posa sa main sur mon poignet et dit : - Vous avez de beaux bracelets Isabelle, ils vous vont à merveille ! En disant cela, il me caressait le poignet et son toucher me donna des frissons. Les frissons dus au toucher du Prof, ajoutés aux envies de mon ami le clito, je finis par me lever dans une sorte de brouillard, et alla au tableau. Le fait de me lever, de commencer à marcher, déclencha un orgasme si puissant, que j’eus du mal à monter sur l’estrade ...