1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1057)


    Datte: 08/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que jamais, puis elle sourit et elle me donna les clefs de la chambre. - Prenez les serviettes en passant, dit-elle au professeur. Nous montâmes à l’étage de ce qui était une sorte de bouge, les escaliers en bois craquaient lamentablement… Nous arrivâmes dans la chambre. J’étais pétrifiée, sans bouger, le professeur posa ses affaires sur le lit, prit place sur une chaise et me dit : - Montre-moi, comment tu te branles ! Comme je ne bougeais pas, il s’approcha de moi, me prit dans ses bras, tandis que de sa main droite passée sous ma jupe, ses doigts s’introduisaient sous ma culotte. - Tu es bien mouillée, dis-moi ! En disant cela, ses doigts remontaient vers mon clitoris et : - Il est bien dur dit-donc et commençant de le travailler sans qu’il me le demande. Savourant son geste, je défis mon chemisier laissant apparaître cette fois entièrement mes petits seins insolents. Comme j’étais placée devant lui, mes tétons arrivaient sous son nez et immédiatement il en prit un en bouche. Le résultat fut fulgurant, des myriades d’étoiles s’allumèrent devant mes yeux, mon clito se mit à vibrer comme il savait le faire et je sentais arriver la tornade classe 4… Soudain, le professeur se reprenant, retira ses mains, me poussa doucement en arrière, et me fit me mettre nue, ce que je fis en tremblant d’appréhension mais surtout d’excitation extrême, oui surtout d’excitation ! Très doucement, il me fit m’allonger au pied du lit, en face de lui, les jambes pendantes et écartées et me dit ...
    ... d’une voix douce : - Allez, vas-y Isabelle, montre-moi comment tu fais… Quelques secondes sans bouger, j’avais honte quand même et ma main trouva l’endroit magique et commença une danse endiablée devant le professeur, qui me conduisit en quelques minutes dans un paradis que je connaissais bien mais que je partageais pour la première fois avec un étranger. Vous expliquer ce que cela me fit est impossible, il n’y a pas de mots pour le dire. En plus des orgasmes se déversant sur moi, je me sentais devenir catin, pas honteuse au contraire même, fière de ce que j’étais en train de faire, aussi, je me lâchais entièrement devant cet homme que j’admirais tant. De plus, en observateur attentif, il ne s’était pas jeté sur moi, restait sagement à sa place, ses yeux, émerveillés semble-t-il par ce que je lui montrais m’encourageaient (c’est ce que je ressentais) à me laisser aller entièrement. Ce jour-là, je suis devenue exhibitionniste et complètement désinhibée n’hésitant plus à montrer, non seulement mon corps mais mes intimités même. Je prenais conscience de la puissance de mon corps et tandis que j’enchaînais orgasmes sur orgasmes, que je remuais comme une furie sur ce lit, me lâchant totalement, je n’avais pas vu qu’il avait sorti son sexe qu’il caressait doucement. Une fois mes caresses terminées, il m’annonça : - Isabelle, il est seize heures trente. Cela faisait 4 heures que nous étions dans la chambre) 4 heures d’orgasmes en tous genres, 4 heures de folies, 4 heures pendant ...