1. Banquière perverse (29)


    Datte: 09/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Le thème de la pièce est tout simplement un simulacre d’inceste : dans le rôle de la mère, Gladice et moi dans celui du père. Dans le rôle de la fille, jeune collégienne, introvertie et provocatrice : Sophie, qui malgré ses 21 ans, a gardé son physique d’ado et tout ce qu’il va avec. Jelila nous avait certifiés que ce genre de sujet allait faire un carton auprès des hommes et des femmes de son entourage, car friands de ce genre de spectacle, qui, donné en privé, permettait d’aller très loin dans la perversité. Elle nous avait indiqué que si nous y mettions une scène saphique, ou une extrêmement pornographique ; nous pourrions emmener les spectateurs à l’orgie. Forts de cette information, nous avions imaginé ce qui suit. — ooOoo— La Pièce ! Jélila frappe les trois coups et fait l’annonce : Toc, toc, toc, toc !…Pan !…Pan !… Pan ! «Mes chers amis ! Comme promis, j’ai le plaisir de vous présenter une pièce de théâtre très spéciale qui (je l’espère) va éveiller vos sens et vous faire passer une très bonne soirée. Cette pièce s’intitule : « Le carnet de notes ». Mettez-vous à l’aise, profitez et surtout n’ayez aucun complexe ». Les invités applaudissent. Uniquement vêtu d’un peignoir, j’entre en scène et m’installe devant l’ordinateur sur lequel défilent les photos de nu. Je clique sur une et simule l’utilisation de mon logiciel de retouche photo. — Bien celle-ci sera parfaite une fois un peu retouchée. Un peu plus de lumière ici, un recentrage là ; parfait ! je m’exclame. La ...
    ... porte de la loge s’entrouvre et la frimousse de Sophie apparaît. — Papa ? — Ah, tu es là ma chérie ? Tu arrives de l’école ? Alors entre ! — Je ne veux pas te déranger, qu’est-ce que tu fais ? Elle pénètre dans ce qui est censé être mon bureau. À la vue de Sophie, les regards médusés et un : «oh ! » de surprise des spectateurs accueille la gamine, l’effet attendu est là. En effet, Sophie qui joue le rôle de ma collégienne de fille se présente en tenue d’écolière, cartable sur le dos, avec : socquettes et chaussures vernies, minijupe plissée striée de bandes blanches et à carreaux rouges et noirs, un chemisier blanc fermé en haut par une cravate et pour couronner le tout, deux belles couettes partant à l’horizontale de chaque côté de son crâne et une paire de lunettes donnent à la gamine un air studieux derrière un regard d’effrontée. — Alors ma fille, quoi de neuf ? L’école, ça va ? j’interroge tout en regardant ma progéniture avec un air sévère. — Euh… oui, ça va… répond-elle avec le regard plongé vers le sol et en se tordant les doigts des mains ; comme si elle cherchait à se les arracher. — Dis-moi nous sommes en fin de mois et tu as ton carnet de correspondance à faire signer, je crois ? je dis, en élevant la voix. — Oui Papa, mais… je… je l’ai oublié à l’école… — Montre-moi ton sac ! j’ordonne en accompagnant la parole au geste de la main cherchant à attraper ledit sac. Timidement elle s’avance à petits pas. Commence à défaire les bretelles de son sac à dos qui semblent ...
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