1. Banquière perverse (29)


    Datte: 09/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pieds, gesticule, se débat et crie. — Papa ! Arrête, je te promets que je vais bien travailler ! s’exclame Sophie en pleurnichant. — D’accord, mais je te préviens, je vais en parler à ta mère ! Elle se dégage de mon emprise et se relève d’un bond. — Non, je t’en supplie ne lui dit rien, sinon elle va me massacrer, poursuit-elle en regardant vers mon peignoir entrouvert et dont sort mon sexe bandé. — Mais tu bandes ! Ah ! Tu aimes me fesser, c’est ça et après tu vas baiser maman ou te taper une branlette ! — Je t’interdis de me parler comme ça ! Devant les spectateurs médusés, elle s’agenouille entre mes jambes, ouvre mon peignoir en grand, prend ma bitte à deux mains et avec son air de vicieuse effrontée elle dit : — Si je te fais des trucs, promets-moi de ne rien dire à maman. — Mais tu es folle, ça ne se fait pas ! — Je sais Papa, je suis une malade, j’aime le cul ce n’est pas ma faute, tu m’as faite comme ça. Et puis je vois que toi aussi tu aimes ça. Allez, dis oui ; ça sera notre secret ! Je fais mine de réfléchir, et la repousse sans conviction ; mais elle s’accroche à mon mandrin dressé comme un obélisque, pointant vers le ciel mon gland violacé de désir. — Bon d’accord, mais juste une fois. — Merci Papa, tu ne vas pas le regretter. Des « Oh… ! » arrivent par vague de l’assistance, les hommes ont du mal à contenir leur émoi ; les femmes gesticulent. Il faut dire que la moyenne d’âge des spectateurs dépasse largement la soixantaine et qu’à cet âge les prouesses ...
    ... sexuelles deviennent de plus en plus compliquées. Sauf, si des allumées comme nous leur offre un tel spectacle. Sophie me suce à pleine bouche, et s’arrête brutalement quand des : « À poil la gamine, la gamine à poil ! » repris en chœur par tous, nous arrivent à la figure. Alors, Sophie se relève et lance un regard de défi en se caressant tout le corps à travers ses vêtements. Sur mon ordi la musique de :You Can Leave Your Hat On - Joe Cockerest prête ; j’appuie surPlay. Sophie entame un strip-tease torride. Je ne l’ai jamais vue dans cet état. Elle est déchaînée, sans doute rien qu’à l’idée de faire bander tous ces vieux mâles. Elle danse au rythme de la musique, défait un à un les boutons de son corsage, qu’elle fait glisser avec sensualité le long de ses bras puis me le jette à la figure. En minijupe, soutien-gorge en coton blanc et sans culotte, elle s’avance vers l’assistance, se trémousse. Elle s’assoit sur les genoux de l’un et l’autre, sur les vieux mâles, elle frotte son derrière sur leurs genoux ; elle leur chuchote des paroles. Arrive l’épisode du soutien-gorge. Toujours envoûtée par la musique, elle le dégrafe et fait glisser une bretelle le long de son épaule, puis la seconde ; le sous-vêtement descend et découvre en partie ses seins tout ronds. Toujours aussi provocante, elle s’assoit à califourchon sur les genoux d’un homme aux cheveux blancs et lui plante sa poitrine sur le visage. Quand elle se recule, l’homme emprisonne l’objet entre ses dents ; sournoisement Sophie ...
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