1. Fantasmes au téléphone


    Datte: 14/11/2017, Catégories: fh, frousses, grossexe, parking, ascenseur, telnet, baillon, ecriv_f,

    J’avais rencontré Frank, sur un chat, sur Internet, et après quelques mois d’échanges électroniques, nous avions décidé de franchir le pas et de nous rencontrer. Il est vrai qu’au début de notre histoire, les dialogues étaient très soft et doux, mais au fil des jours et des semaines, Frank m’avait posé des questions très intimes sur mes relations avec mon mari, sur la teneur de mes fantasmes. Nous avions même eu plusieurs fois des chats très intimes, après lesquels je dois avouer, je m’étais masturbée. Frank avait une personnalité très forte et avait trouvé le moyen de me chauffer par ses textes et ses messages parfois doux ou parfois vulgaires, sachant systématiquement m’emmener à son objectif. Nous avions décidé d’une rencontre dans un lieu public, prétextant auprès de mon mari une visite chez mes parents qui habitaient loin de notre domicile. Frank fut surpris de s’apercevoir que mon physique correspondait en tout point à ma description, grande rousse, bien faite, habillé bourgeoisement. Il me scruta pendant plusieurs minutes avec beaucoup de gourmandise. Lui, était d’un physique assez banal, mais quelque chose dans ses yeux le rendait terriblement envoûtant. Nous parlâmes longuement de la façon dont nous nous étions rencontrés, et de la gêne et surprise que cela occasionnait. Au bout, d’une heure, Frank me demanda si nos échanges sur Internet ne m’avaient pas choquée. Je craignais la question, mais redoutais encore plus ma réponse, sachant que j’allais ouvrir la ...
    ... boîte de Pandore. — Au début, si, je trouvais cela très gênant, mais après cela m’a excitée.— Excitée, à quel point ? Jusqu’à te toucher ?— Oui parfois, je dois avouer que me suis touchée pendant nos dialogues.— As-tu éprouvé du plaisir ?— Oui, c’était surprenant, mais très bon Je me sentais partir à nouveau, inondée de questions indiscrètes et rouge de honte, de peur de découvrir que notre discussion pouvait être écoutée par une table voisine. — Frank, partons j’ai l’impression que tout le monde nous écoute !— Viens, je t’emmène chez moi, c’est juste à 10 minutes de voiture, où es-tu garé ?— Ah non ! Pas chez toi, ce ne serait pas décent ! Malgré mes faibles protestations. J’acceptai finalement de le suivre en voiture jusqu’à chez lui. Je m’engageais alors dans le parking au-dessous de son immeuble, et me garais sur un emplacement libre. Quand je sortis de mon véhicule, il se tenait près de moi, se rapprochant jusqu’à sentir son corps effleurer mon corps. Il me plaqua contre ma voiture, et m’embrassa avec passion. Sa langue força l’entrée de ma bouche, et nous échangâmes un baiser vigoureux Ses mains avaient remonté le long de mes cuisses, redressant ma jupe, afin de divulguer mes porte-jarretelles. D’autorité il baissa ma culotte, écarta mes cuisses et me pénétra de son sexe libéré. Il me souleva du sol maintenant mes cuisses au-dessus de sa taille, tout en gardant ses mains posées sur mes fesses. Sa langue toujours occupée à fouiller ma bouche, je ne pouvais émettre aucune ...
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