1. Fantasmes au téléphone


    Datte: 14/11/2017, Catégories: fh, frousses, grossexe, parking, ascenseur, telnet, baillon, ecriv_f,

    ... protestation. Il me laboura méthodiquement, ne me laissant pas reprendre mon souffle. Son sexe était immense et d’une raideur peu commune, je me sentais remplie, par quelque chose d’irréel. Quand enfin je pus reprendre mon souffle, je lui dis : — Frank non pas ici on va nous surprendre, emmène-moi chez toi vite ! Il me prit par la main, et me traîna vers l’ascenseur. Une fois dans l’ascenseur. Il appuya sur le 4ème étage, mais arrivé au second il appuya sur le bouton stop. «Suce-moi maintenant ». Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche vers son sexe, qu’il me força à avaler. « Vas-y, applique-toi, suce-moi comme on suce une bonne glace ». Je passai ma langue autour de son bâton de chair, compressant mes lèvres contre sa hampe, ou mordillant son gland. « C’est bien, tu es une bonne petite butineuse, les bourgeoises comme toi adorent sucer des grosses queues comme les miennes » . La vulgarité de ses commentaires ne faisait que renforcer mon excitation. Il enfonça son sexe entièrement dans ma bouche, dont il se servit comme d’un sexe, me baisant la bouche tout en me maintenant par les cheveux, afin que je ne puisse refuser cette fellation. Pendant que je le suçais, il découvrit ma généreuse poitrine, devant laquelle il s’exclama admiratif. «Tes seins sont comme je les avais rêvées, gros et tellement appétissants, je veux que tu me branles la bite avec. Je lui pris son sexe entre mes seins, et m’appliquai à le masturber. Au bout d’un certain temps, il me releva et me dit ...
    ... «arrête on va finir chez moi ». Il relança l’ascenseur. Arrivés à l’appartement, je fus entraînée dans le salon, et couchée sur le canapé. Sans aucune attente et préliminaire Frank me pénétra. Ma chatte était tellement humide, que je me retrouvais empalée sous mon nouvel amant sans aucune résistance. Il enchaîna des va-et-vient rapides et lents, m’emmenant au bord de l’épuisement tellement ma jouissance était rapide et intense. Quel amant magnifique ! Il n’avait même pas besoin de me caresser pour éveiller mes sens, son énorme pieu dur comme de la pierre qui me labourait la chatte suffisait à me faire atteindre le septième ciel. J’étais couchée sous lui yeux fermés, l’imaginant me fixant du regard, de ses yeux troublants. — T’as jamais était prise comme ça hein ?— Ohhhh mon dieu c’est trop, tu me rends folle !— Regarde-moi, je veux te voir jouir, et le lire dans tes yeux Il continua, remonta entièrement mes jambes au-dessus de ses épaules afin de mieux me pénétrer, tout en me maintenant par les hanches pour mieux coulisser au plus profond de mes entrailles. Mon souffle et mes cris s’accentuant, il sortit de sa poche ma culotte, dont il m’avait promptement débarrassé dans le parking, pour me l’enfoncer dans la bouche. Il jouit une première fois au fond de moi. Ivre de désir et de fatigue, je pensais que c’était la fin, mais sans aucune pose, il me retourna et pénétra à nouveau sa queue dans mon sexe, me prenant en levrette. Son sexe était toujours aussi raide et me besognait ...