Parties fines en Croatie - Histoires de Sexe

Parties fines en Croatie

... jour, nous ne tardons pas à nous caresser mutuellement. Pierre embrasse Catherine en frottant son membre contre le pubis. Il soulève une jambe de sa partenaire et entre sa queue dans le vagin jusqu’à la garde. Tout en allant et venant, il comprime de ses mains les deux seins avec fermeté. L’échange se veut viril : les muscles fessiers et le membre se meuvent avec puissance et précision sous l’effet d’un désir ardant. Léa tend ses bras appuyés à la falaise, écarte les jambes et m’invite à la prendre en levrette. Après avoir élargi sa chatte avec l’index, j’introduis ma queue dans la moule étroite et chaude. Les mains sur les fesses écartées, je vais profondément dans la cavité et lance une chevauchée en alternant des séries de pénétrations lentes et rapides. Mon épouse encourage par des mots crus son partenaire à redoubler de vigueur. Celui-ci accélère ses pénétrations et ne tarde pas, le corps en sueur, à déverser ses jets de sperme sur une cuisse. Léa claque ses fesses sur mon bas-ventre, prend son plaisir et me fait jouir, mon sperme giclant dans la raie de ses fesses. Nous quittons le lieu par la mer et regagnons la plage pour prendre un bain de soleil sur nos serviettes. Puis, nous reprenons le chemin du retour en fin d’après-midi, les rayons obliques du soleil léchant nos jambes. Au soleil couchant sur le balcon, nous sirotons des cocktails en réfléchissant au programme du lendemain. Pierre suggère une virée en catamaran et la visite d’une petite île inhabitée connue ...

... pour sa végétation exubérante. Cette idée remporte l’assentiment de chacun si bien que nous nous retrouvons la journée suivante au port de plaisance. Une compagnie de location met à notre disposition un voilier offrant un bon niveau de confort et un skipper qui assurera les manœuvres et tiendra la barre. Nous quittons la terre ferme et prenons nos aises sur le pont en regardant à l’horizon l’île convoitée. Intéressés par la technique de la voile, Pierre et moi-même allons voir le skipper pour parfaire nos connaissances sur le pilotage du bateau. L’homme trentenaire nous explique que les double-coques nécessitent une navigation sous le vent et des virements au travers du vent en maintenant la vitesse. Sous la surveillance du skipper, nous procédons à plusieurs manœuvres à la barre et rejoignons nos épouses allongées nues sur le pont avant du catamaran. Rapidement, l’île apparaît de façon plus nette à l’horizon. Le pilote nous propose de lâcher l’ancre dans une crique pour prendre un bain. Léa et Catherine piquent un plongeon dans l’eau bleutée et nagent jusqu’au rivage. Avec moins d’entrain, Pierre et moi-même les rejoignons puis nous nous dirigeons dans l’hinterland pour admirer la nature. Constituée d’un mont rocheux enrubanné d’une pinède, l’île fait l’objet d’un programme de préservation, ce qui permet aux espèces animales et végétales d’y prospérer. Les chemins de randonnée offrent la possibilité d’observer en toute tranquillité la flore et la faune. Après deux heures de ...