1. Cynorhodon


    Datte: 10/08/2021, Catégories: fh, inconnu, campagne, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aliments,

    ... palpitations et mes cynorhodons. Je réalise alors que le chien n’est pas là. Elle m’apprend que c’est celui d’une copine, qu’elle prend avec elle en promenade à travers la campagne. Mais que si elle décide de s’installer définitivement dans le coin, elle aimerait bien en avoir un aussi. Donc sa vie est à un tournant, un peu comme la mienne. Une fois le repas prêt, nous retournons vers la cheminée pour manger son frichti. Un délice, agréablement accompagné de thé blanc de Chine. La combinaison est inusitée, mais très réussie. La discussion s’engage, détendue, animée. D’autant plus spontanée que Patricia n’arrête pas de me bousculer et de se moquer des travers qu’elle découvre chez moi au gré de mes anecdotes. Visiblement je ne la laisse pas indifférente. J’essaie d’en savoir un peu plus sur elle, mais elle semble vouloir éviter certaines questions et rester discrète sur ce qu’elle fait dans la vie. Elle est en revanche intarissable sur ce qu’elle a découvert de la maison, du village et de ses habitants, depuis qu’elle y séjourne. Je réalise qu’elle est en train de retaper son pied-à-terre depuis près de trois mois, sans que je l’aie remarquée. Elle semble de son côté connaître beaucoup de choses sur moi. Notre rencontre pourrait ne pas avoir été tout à fait fortuite. Nous papotons comme de vieux amis, ce qui ne fait qu’attiser mon envie d’elle. Cette fille commence sérieusement à m’attirer, à me fasciner même. Chaque fois qu’elle pose sa main sur moi, comme par inadvertance, ...
    ... je ressens une décharge électrique jusqu’au fond de mon ventre. J’ai des fourmillements dans les mains tellement j’ai envie de la prendre contre moi et recommencer à la caresser. Elle sait parfaitement l’effet qu’elle me fait, mais ne semble pas trop pressée. Peut-être est elle simplement sûre de ce qu’elle peut obtenir de moi. Le moment vient enfin où l’envie lui prend de m’accorder une nouvelle pause câlins, juste après un petit sorbet au gingembre qu’elle a trouvé le temps de préparer en m’attendant. Tout en me régalant de ses lèvres et de sa petite langue qui fouille avidement ma bouche, je peux découvrir enfin son corps à pleines mains. J’ai envie de me rouler par terre avec elle, de la caresser partout, de la lécher sans relâche, jusqu’à ce que jouissance s’en suive. Je bande dur dans mon pantalon, ce qu’elle semble apprécier si j’en crois les caresses expertes dont elle gratifie ma tige. Mais à nouveau, elle m’échappe. D’un mouvement des reins elle se relève et m’abandonne en désir d’elle, pour aller chercher la théière ou une autre chose importante à ses yeux. Elle reprend notre conversation depuis le fond de la cuisine. Nous en arrivons au chapitre des secrets de famille. C’est là qu’une phrase malheureuse m’échappe. — Il faut reconnaître que le Gaston ne se privait pas d’une aventure galante, à ce qu’on racontait dans le village… dis-je avec le ton suffisant de celui qui en sait long sur les autres…— Qui ça, « on » ?— Ben, les voisins, notamment. Elle pose la boîte ...
«1...345...12»