1. Cynorhodon


    Datte: 10/08/2021, Catégories: fh, inconnu, campagne, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aliments,

    ... dans leurs corps. Après cela, quelle importance si le Gaston se laissait parfois un peu aller. Je te jure qu’elle s’en foutait. Il était à elle, le bonhomme, pour toujours. Elle se disait qu’elle pouvait bien le prêter à d’autres, si ça le soulageait. Elle le reprenait en main les jours suivants, lui faisant perdre l’envie de retourner rôder. D’après ce qu’elle m’a raconté, c’était plutôt efficace. La voix de Patricia change en me racontant ces bribes d’histoires de famille. Je la prends dans mes bras et la caresse avec toute la tendresse que ses confidences et l’endroit m’inspirent. Je suis en train de craquer complètement pour cette fille. Elle s’offre sans retenue, se coule contre moi en me rendant mes baisers, palpant mon excitation à travers mon pantalon, cherchant ma peau sous la chemise. Puis elle prend ma main, la pose sur ses seins et me pousse à les malaxer fortement, comme pour apaiser ses pointes raidies, à cause du froid, sûrement, et peut-être aussi un peu du désir que je lui inspire. Son geste ravive les griffures que les épines d’églantiers m’ont infligées, et je ne peux retenir un mouvement de recul. Réalisant ce que sa maladresse provoque, elle soulève un pan de sa robe, glisse une main entre ses jambes et commence à se caresser. Juste assez longtemps pour me laisser découvrir qu’elle est complètement nue et admirer au passage sa toison soigneusement apprêtée. Déjà, elle laisse retomber le rideau de tissu, prend ma main écorchée et l’enduit de ses humeurs ...
    ... de femme qui mouillent ses doigts. L’effet de ce baume d’amour est immédiat. Sur mes blessures d’abord, qui font soudain beaucoup moins mal, puis sur ma queue, à nouveau étranglée par le manque de place. Sans un mot, elle m’invite alors à retourner dans la chambre chauffée et à m’asseoir sur le lit. Un peu inhibé par le poids des souvenirs, je reste là, les mains posées sur mes genoux, sans oser me précipiter sur elle comme j’en ai en fait envie. Elle se tient debout devant moi, prenant tout son temps pour me dévisager, avec l’air d’une petite fille gourmande qui hésite entre deux cadeaux. Soudain, d’un ravissant mouvement du torse, elle fait glisser le boubou de ses épaules et m’apparaît d’un coup complètement nue. Son corps est superbe, harmonieux, plein et creux juste où j’aime le voir, rond à souhait où mettre les mains et la bouche. Comment est-ce possible qu’une telle merveille souhaite se jeter dans mes bras ? J’ai à peine le temps de me remettre du choc qu’elle s’avance vers moi, très lentement, puis après un bref instant de réflexion, lève sa jambe droite et vient la poser sur mon épaule. Jamais aucune femme ne s’est offerte à moi de la sorte. Ce mouvement réveille en moi des émotions indéfinissables. Tout au fond de mon être, inconsciemment, je connais le sens de ce geste. Le résultat ne se fait pas attendre, je suis complètement ravagé par ce qu’elle vient de faire, incapable de résister à la violence érotique de cet appel au sexe et à l’amour. Ma bouche et mon nez ...
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