Chaude après-midi (1) - Histoires de Sexe

Chaude après-midi (1)

... Aussitôt, je vois ma sœur s’approcher des chaises longues et je la regarde retirer nonchalamment ses vêtements sous lesquels elle a déjà enfilé son maillot de bain : un bikini rose et noir on ne peut plus simple. Elle se dirige ensuite vers la piscine tandis que je porte mon attention sur sa poitrine. Stéphanie n’a que 18 ans, mais elle a déjà une magnifique paire de seins. J’en suis d’ailleurs quelque peu jalouse car, si je suis de 4 ans son aînée, les miens sont plus petits. Quoi qu’il en soit, je suis tout de même ravie pour elle. Je ne doute pas qu’elle ferra un malheur avec de tels atouts. Je la suis encore du regard tandis qu’elle s’approche du bassin, puis je frissonne lorsqu’elle plonge tête la première. S’il règne une chaleur étouffante, je suis néanmoins trop frileuse pour me jeter à l’eau comme elle vient de le faire. Je sais qu’il me faudra de longues minutes avant de pouvoir rejoindre mes amies au milieu de la piscine. Toutefois, je me sens poussée en avant par la perspective de bientôt me retrouver à leurs côtés tandis qu’elles sont pratiquement nues. Je passe alors mes mains dans mon dos pour descendre la fermeture éclair de ma robe, dont je me débarrasse en une poignée de secondes, et me voilà à mon tour en maillot de bain. Je me dirige ensuite vers la piscine, appréciant ce faisant le contact agréable de l’herbe fraîchement coupée sous mes pieds nus. Tandis que je m’approche, je vois Stéphanie et Chloé, en grande conversation, s’éloigner vers le bord opposé ...

... du bassin. Si ma sœur n’a évidemment pas les mêmes affinités que moi avec mes amies, je suis heureuse de voir qu’elle a su malgré tout se faire pleinement adopter. De fait, elle fait maintenant partie intégrante de notre bande. Cette constatation à l’esprit, je m’assois au bord de la piscine et plonge mes jambes dans l’eau, trop fraîche à mon goût. — Allez, viens ! me lance Laura en s’approchant de moi. La connaissant, je sais qu’elle a une sale idée derrière la tête, et cela se confirme effectivement lorsque, peu après, elle prend un malin plaisir à m’éclabousser. Les gouttes d’eau glaciales s’écrasent sur ma peau et me font l’effet d’une centaine de piqûres tandis que Laura rit aux éclats. De toute évidence, elle n’arrêtera pas cette ignoble torture, il va donc falloir que je prenne le taureau par les cornes. Saisissant tout mon courage, je me laisse glisser dans la piscine. Je fais un immense effort de volonté pour réprimer un cri lorsque mon corps s’enfonce dans l’eau. Elle est si froide... Immédiatement, je sens pointer mes seins. Et Laura qui n’a de cesse de m’arroser... Aussi vite que je le peux, je me rue sur elle et je l’enserre dans mes bras dans l’espoir de l’immobiliser. Alors que la bougresse se débat, nos corps se frottent l’un à l’autre. Nos cuisses, nos ventres se touchent. L’espace d’un court instant, mes seins viennent se presser contre les siens. Ce simple contact, aussi fugace ait-il été, m’électrise, et une certaine excitation grandi en moi. Cependant, ...