Chaude après-midi (1) - Histoires de Sexe

Chaude après-midi (1)

... bien que je m’efforce de maintenir Laura contre moi, elle continue de m’asperger. Je décide donc d’essayer une autre technique. Je relâche ma prise et, rapidement, je pose mes mains sur ses épaules puis j’appuie de toutes mes forces pour lui mettre la tête sous l’eau. Laura se débat de plus belle mais cette fois, elle ne peut plus m’arroser. Soudain, je sens ses mains me saisir derrière les genoux. Un instant après, à ma grande surprise, elles passent sous mon maillot de bain et s’agrippent à mes fesses qu’elles pétrissent sans le moindre ménagement. J’ai mal, Laura ne cherche pas à me faire du bien, mais uniquement à se dégager. Néanmoins, je ne lâche pas ma prise, cette douleur me procure même un certain plaisir. C’est alors que deux de ses doigts s’insinuent dans la raie de mes fesses, se faufilent entre mes jambes, puis remontent pour venir s’arrêter sur mon minou. Sans crier gare, elle m’enfonce un doigt dans la chatte et se met à me masturber frénétiquement. Cette fois, je suis obligée de la lâcher. Sous l’effet de la surprise, j’ai effectivement un mouvement de recul qui lui permet de s’échapper. Elle émerge alors de l’eau et, après avoir reprit son souffle, elle me gratifie d’un sourire satisfait. — Espèce de garce, lui dis-je, feignant d’être en colère. Nous rions ensuite toutes les deux de bon cœur, tandis que Chloé et Stéphanie se rapprochent lentement de nous. Si elles ont assisté à notre affrontement, elles ignorent cependant comment Laura a pu se dégager. Je ne ...

... sais pas ce qu’il en est pour cette dernière, mais pour ma part, je suis maintenant excitée. Et la vue de ces belles donzelles seulement vêtues de maillots de bain ne fait rien pour me calmer. Heureusement, Chloé lance la conversation, choisissant un sujet qui n’a pas le moindre rapport avec le sexe. Alors que nous discutons toutes les quatre, Jessica vient bientôt nous rejoindre et se mêle à notre petite causerie. Au bout d’un certain temps, je ressens la nécessité de satisfaire un besoin naturel. J’abandonne donc mes amies et ma sœur et, après être sortie de la piscine, je me dirige vers la terrasse. En apercevant le tas de serviettes reposant sur l’une des chaises longues, j’en choisis une et m’essuie rapidement avec, avant de rentrer dans la maison et d’aller aux toilettes faire ma petite affaire. Cela fait, je vais me laver les mains et entreprend le trajet inverse pour rejoindre mes amies mais, tandis que je traverse le salon, j’aperçois Laura, sur ma gauche, dans la cuisine. — Tu fais quoi ? lui demandé-je en la rejoignant et en venant m’accouder au comptoir derrière lequel elle se tient. — Je me met au frais, répond-t-elle. Et puis j’avais une petite faim... A ces mots, elle brandit une banane et me l’agite sous le nez. — T’aurais pu m’en prendre une, lui reproche-je gentiment, la banane étant mon fruit préféré. — On peut partager celle-là... Lentement, elle approche l’un des bouts de sa bouche, effleure ses lèvres avec, descend sur son menton. Elle s’arrête alors et ...