La fermière
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
fh,
campagne,
hsoumis,
fdomine,
contrainte,
Oral
hdanus,
jeu,
zoo,
attache,
hsoumisaf,
jeux,
... encastrée dans le sol. Je saisis l’anneau et constate que la trappe se soulève facilement. Un escalier s’enfonce dans la nuit. Sur la première marche un petit écriteau bien reconnaissable s’adresse à moi :Bravo, courage ! J’ai quitté le travail légèrement plus tôt que d’habitude. J’étais très excité et je ne voulais prendre aucun risque, ni celui d’éveiller la curiosité d’un collègue, ni celui d’arriver en retard. À la nuit tombante, je suis parvenu à l’adresse indiquée par mon attirante adversaire. Je suis entré dans la cour de la ferme et j’ai été un peu surpris de n’apercevoir aucune lumière, aucun signe de vie. Seule la voiture de Nathalie semblait m’attendre. Je descends quelques marches et découvre une galerie qui s’enfonce dans l’obscurité. Le peu de lumière qui pénètre par l’ouverture me permet juste de constater que les murs, le plafond et le sol de ce mystérieux passage sont constitués de planches de bois. Quel piège m’attend dans cette nuit ? J’hésite un instant, mais bien vite la déraison l’emporte et je commence à progresser à tâtons dans le couloir. Un petit papier battait au vent sous un essuie-glace. Les lueurs du crépuscule m’ont aidé à le déchiffrer : Le petit jeu de piste avait commencé. Le noir est absolu. L’excitation monte encore d’un cran ; étrange sentiment que celui de se jeter dans la gueule de la louve. Est-ce bien prudent de s’offrir ainsi ? Je ne connais finalement que très peu de choses sur Nathalie. Suis-je bien certain qu’elle respectera les ...
... règles qu’elle m’a énoncées ? J’ai déjà entraperçu son côté obscur… Est-ce avisé de faire montre d’une telle confiance envers les desseins manigancés par cette diablesse ? L’attirance du jeu est trop forte, la beauté de cette femme m’ensorcelle, le danger de la flamme me fascine… Ma progression, dans le silence et les ténèbres, est lente, très lente. Mes mains fouillent la nuit avant chacun de mes pas de fourmi. Je pressens le traquenard, mon cœur bat tel un roulement de tambour, tous mes sens sondent l’invisible, ma respiration est pratiquement stoppée. Le premier indice d’une présence est visuel : je perçois une très faible lueur. En m’approchant de la source lumineuse, je constate qu’il s’agit d’un interrupteur, ouf, il est temps de mettre un peu de clarté dans cette histoire. Ma tension intérieure se relâche légèrement. J’avance ma main et presse sur le bouton : Clap ! Une lumière vive m’éblouit et je sens une forte pression sur mon poignet droit. Une trappe s’est refermée et emprisonne la main qui vient de presser sur l’interrupteur. L’indication affichée sur la porte de la grange me revient alors en mémoire : Pousse-moi… AVANCE… AVAnce… Avance… avance… clap ! — Bonsoir Éric, ça me fait immensément plaisir de te revoir. C’est d’une voix particulièrement suave que Nathalie me signale sa présence. Je tourne la tête dans sa direction et je la découvre souriante et magnifique. Déjà sa dangereuse beauté m’hypnotise, mes sentiments sont contradictoires : attirance, crainte, ...