La fermière
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
fh,
campagne,
hsoumis,
fdomine,
contrainte,
Oral
hdanus,
jeu,
zoo,
attache,
hsoumisaf,
jeux,
... désir, hantise… Je tente de masquer tout ceci dans une réponse faussement légère : — Salut Nathalie, moi aussi je suis content de te voir. Tu es plus belle que jamais. Pourrais-tu m’aider à décoincer ma main afin que nous puissions profiter au mieux de nos retrouvailles ?— Oui, oui, rassure-toi, nous n’allons pas rester dans cet endroit si peu accueillant. Je te laisse simplement te préparer tranquillement et je reviens te chercher dans dix minutes. Et avec un radieux sourire elle lance un objet brillant à mes pieds. Je regarde la chose et constate qu’il s’agit d’une paire de ciseaux. Mon regard remonte vers Nathalie et il doit bien refléter mon incompréhension car elle pouffe de rire. — Eh bien, tu ne vas pas rester ainsi. Déshabille-toi ! Sans attendre davantage elle disparaît, et seul son rire qui s’atténue me tient compagnie encore quelques secondes. La tension qui m’habitait jusque-là s’est envolée. Je parviens même à sourire de ma situation. Je voulais jouer avec la flamme ? Tenter la diablesse ? Eh bien, que je ne me plaigne pas ! Obéissant à son injonction, je commence à me dévêtir. Chaussures, chaussettes, pantalon et slip tombent rapidement sur le sol. Les difficultés commencent avec le haut du corps. Ma main emprisonnée ne me permet pas de me défaire entièrement de ma veste et de ma chemise. Et je ne suis pas prêt à les découper pour m’en séparer ! Aussi mes deux dernières pièces de vêtements restent pendues un peu bêtement à mon bras droit. Nathalie ne tarde ...
... pas à revenir. — Alors, mon bon Monsieur, on refuse de quitter entièrement ses habits ? Bien, bien, je vais te proposer un arrangement à l’amiable. Je suis surpris du ton débonnaire qu’elle emploie. Je m’attendais à subir son courroux, mais elle semble conciliante, presque trop. Elle s’approche de moi et fait apparaître une nouvelle petite ouverture dans la paroi de bois, à proximité de celle où mon poignet droit est emprisonné. — Et voilà, il te suffit de me donner ta main gauche et je libérerai ensuite ta main droite. La proposition me semble honnête et je présente ma main gauche dans l’ouverture. Cette fois je peux observer comment le piège fonctionne. Au moment où mes doigts touchent le fond de la cavité, un mécanisme provoque la fermeture d’un bracelet de menottes sur mon poignet : clap ! Face à la paroi, les deux mains emprisonnées, ma liberté de mouvement est faible. Je dois contorsionner ma nuque pour suivre Nathalie du regard et celle-ci prend un malin plaisir à se positionner juste derrière moi. — Nathalie, pourrais-tu m’aider afin que je puisse retirer complètement mes habits ?— Quel impatient tu fais, Éric ! Mais tes désirs sont des ordres, je m’en occupe. Et sans plus attendre elle se baisse, ramasse les ciseaux et se met à découper tranquillement ma veste, puis ma chemise. Je reste sans voix. Nu comme un ver à bois, les poignets menottés à une palissade, me voici offert à une femme magnifiquement inquiétante… Un instant seul, j’ai le temps de songer aux pulsions ...