1. La fermière


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, campagne, hsoumis, fdomine, contrainte, Oral hdanus, jeu, zoo, attache, hsoumisaf, jeux,

    ... m’excite au plus haut point, ses œillades m’ensorcellent, ses caresses sont langoureuses et ardentes, ses baisers m’envoûtent, mais… la fellation ce n’est manifestement pas son truc ! Mon pénis est maltraité, compressé, blessé. Les premiers bourgeons de plaisir n’ont pas éclos, ils se sont ratinés comme brûlés par une gelée tardive. Je reçois de véritables coups de butoir dans le bas-ventre ; malgré les cordes qui me maintiennent, je suis secoué en tous sens. Je commence à avoir vraiment mal. J’ai l’impression qu’un long gant de crin, chaud et humide, me malaxe douloureusement l’entrejambe. Lors d’un mouvement brusque et incontrôlé de la tête, les écouteurs et leur musique tombent sur le sol. Mes oreilles perçoivent alors un lourd frottement, juste de l’autre côté de la paroi de bois. Jusqu’à présent, cet étrange brouhaha était couvert par la musique des « Quatre Saisons ». J’écoute de manière plus attentive et reconnaît le bruit caractéristique d’un piétinement de sabots… très proche… trop proche… et soudain un long meuglement sonore monte vers moi… La nuit est bien avancée. Couchés dans un grand lit, nos mains seules enlacées, Nathalie et moi achevons une longue discussion. Les yeux de Nathalie sont encore emplis de larmes. Nous avons pleuré tous les deux, ensemble et séparément. De cette soirée qui a dérapé. De la conséquence d’être allés trop loin. Du fait d’avoir cassé l’indicible confiance que l’on se doit quand on joue avec les limites. Vais-je me retirer du jeu ? Les ...
    ... longues excuses de Nathalie résonnent encore dans la pièce. De même que mon énorme[champignons vénéneux] résonne encore dans tous les étages de la ferme. Je sens ses doigts se serrer forts entre les miens. Elle m’a raconté des pages entières de sa vie, des moments de joie et de tristesse. Ses amours tourmentées, la dérive sexuelle qui en résulte. Elle s’est ouverte, elle m’a laissé voir ses blessures, elle aimerait que je lui pardonne… Elle frissonne, elle serre encore davantage ma main, elle attend ma réponse. Nos yeux se fixent intensément… Je lui souris. — Ne faudrait-il pas que nous dormions ? Si je compte bien, nous avons encore une quarantaine d’heures de jeu devant nous. Son triste minois reprend vie. Un premier feu de joie se rallume dans ses yeux, ses joues s’embrasent également et bientôt c’est son visage entier qui brûle de bonheur. Elle reste un long moment immobile et silencieuse, seule sa frimousse qui se consume laisse transparaître son immense soulagement. Elle respire lentement, profondément. Au bout de quelques minutes il me semble percevoir que la tension accumulée quitte son corps et la pièce. Le calme et la sérénité sont revenus. Je me sens bien avec moi, bien avec elle, et je laisse le sommeil s’installer. Tout doucement, imperceptiblement, Nathalie s’approche de moi. Son visage vient surplomber le mien. Ses lèvres cheminent sur mon menton, la pointe de sa langue vient titiller délicatement les contours de ma bouche, mais c’est finalement au creux de mon ...
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