1. Cocu, vous avez dit cocu ?


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, intermast, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, cocucont,

    ... Maria s’était allongée sur le dos en dégageant le haut de son corps, Philippe, en appui sur ses genoux, avait pénétré sans plus tarder le ventre brûlant et pilonnait consciencieusement le fourreau trempé ; moi, j’étais à genoux devant le visage de ma femme qui jouait avec mes bourses et mon sexe, elle avait commencé par me lécher et me sucer. Mes yeux étaient rivés sur l’entrecuisse de ma chérie, la verge allait et venait, le gland apparaissait parfois avant de s’enfoncer au plus profond du vagin, ma propre queue me faisait mal tellement ce spectacle me fascinait et m’excitait, j’étais tellement concentré que je ne comprenais rien à ce que Maria voulait, je la laissais me prendre la main et la poser sur mon sexe, elle commença à me branler avec ma propre main. Finalement je compris ce qu’elle voulait et ce qu’elle attendait de moi, elle délaissait mon érection douloureuse et se réservait toute entière à son amant, sa bouche avait abandonné mon membre et avait trouvé d’autres lèvres que les miennes, je n’avais plus droit qu’à une main qui me serrait les bourses, un doigt qui fouillait mon anus en profondeur, elle voulait que je me masturbe pendant que Philippe la baisait sous mes yeux. Qu’il en soit ainsi, ce qu’elle le voulait, je le voulais aussi, alors je me suis branlé, vigoureusement branlé. À ce moment précis, j’étais excité, j’avais mal à mon sexe et à mes bourses, j’avais besoin de soulager cette douloureuse et incontrôlable érection, et je devais le faire coûte que ...
    ... coûte. Je me délectais de mon humiliation, ma femme se faisait baiser par mon ami, ça se passait là, sous mon nez et je l’acceptais, non seulement je tenais la chandelle, mais en plus, je prouvais à quel point cette situation m’excitait en me masturbant, j’étais devenu un mari cocu et soumis, mais je m’en foutais comme de ma première chemise. Les amants me regardaient faire, Maria offrait son ventre à son amant en poussant de petits cris, elle caressait mes bourses, me mettait plusieurs doigts dans l’anus, Philippe savourait la situation en me regardant avec amusement, il possédait ma femme à grands coups, arrêtait ses allées et venues enfoncé en elle jusqu’aux couilles et recommençait, il me semblait qu’il me prenait moi-même, il me semblait ressentir physiquement son sexe en moi, comme s’il me sodomisait par l’entremise des doigts qui me possédaient, il avait soumis la femme et le mari, il parlait en maître incontestable : — Pardonne-moi de dire ça, Bernard, mais il était plus que temps que je baise ta femme, elle était en manque et avait besoin de ma queue, tu n’assurais pas assez avec elle. Sa chatte me rend dingue.— Je ne sais pas pourquoi, mais c’est vrai que je me comporte comme une pute aujourd’hui. Regarde mon mari, regarde-le, mon gentil cocu, tu vois comment il se branle en voyant comment tu me baises bien. Tu aurais dû me baiser depuis longtemps Ma femme chérie me sourit tandis qu’elle offrait son ventre et sa bouche à son amant. La belle tendit sa main vers mon ...
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