1. Cocu, vous avez dit cocu ?


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, intermast, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, cocucont,

    ... jets puissants atterrirent sur les seins et le visage de Maria. Et tandis que l’autre mâle lui inondait le ventre, elle hurla sa jouissance : — Ton sperme ! Je le veux ! Tout ! Oui, tout ! Oui ! Oui ! Maria se tordait comme sous une violente décharge électrique, elle cria, cria, se tendit comme un arc et retomba inerte et sans vie. Pendant un long moment, leur respiration tout comme la mienne resta haletante, puis se calma peu à peu. Ils vivaient la « petite mort » après la violence de leur orgasme. Maria reprit ses esprits la première et dit : — Tu m’as baisée magnifiquement, tu sais. J’ai joui comme une folle. Je viens de connaître l’orgasme le plus violent de toute ma vie ! Je n’arrive pas à croire que j’ai réalisé mon fantasme avec toi et avec mon mari.— Moi aussi j’ai pris un pied pas possible avec toi.— Oui, mais tu n’es pas gentil, tu as éjaculé au fond de mon sexe encore une fois, tu fais comme si tu voulais me mettre enceinte.— Ce n’est pas grave, je t’ai baisée maritalement puisque ton mari est consentant. Si tu te retrouves grosse de mes œuvres, il sera papa par délégation.— Ne plaisante pas avec ça, je t’en prie, même si tu m’as baisée devant mon mari. Il a dû aimer parce que je ne l’avais jamais vu se branler comme ça. Je vais me laver, j’ai du sperme partout, pas que dans ma chatte, j’en ai plein sur moi aussi. Oui, le tien dans mon ventre, et celui de mon mari sur mes seins et mon visage, une vraie douche ! Ils se séparèrent, se levèrent, et allèrent ensemble ...
    ... à la salle de bains laver leur jouissance et la mienne. Philippe revint assez vite, seul et toujours nu. C’était la première fois que je me retrouvais nu au lit avec un homme, et qui plus est avec lequel je venais de partager la femme de ma vie. Face à lui, je m’efforçais de trouver une contenance, l’amant semblait plus à l’aise. Je me surpris à contempler sa queue, je comprenais que ma femme la désire. Philippe bandait mollement, il engagea la conversation : — On dirait que c’est mon jour de chance, je suis tombé au bon moment.— On dirait. Tant mieux pour toi, tant pis pour moi.— J’espère que tu ne m’en veux pas de baiser ta femme.— Je n’avais pas vraiment envie de la partager.— Tu sais, j’avais envie de la baiser, c’est vrai, et depuis longtemps, mais elle aussi en avait envie, en fait bien plus envie que moi.— Tu l’as dit toi-même, tu es tombé au bon moment.— Je n’arrive toujours pas à croire que c’est arrivé.— Et pourtant…— Si tu savais, je peux te le dire maintenant, j’avais envie d’elle depuis votre mariage.— Pourquoi ?— Elle était particulièrement belle ce jour-là, et si tu veux tout savoir, je n’étais pas le seul à fantasmer sur elle. J’ai mené la danse pour la jarretière, et j’en ai profité pour mater sous sa robe de mariée et lui peloter un peu les cuisses.— Sans qu’elle proteste ?— Elle prenait tout à la rigolade, et elle faisait surtout attention à ne pas trop dévoiler le haut de ses cuisses devant tout le monde, elle ne voulait pas qu’on voie sa petite culotte, ...
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