1. Cocu, vous avez dit cocu ?


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, intermast, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, cocucont,

    ... aussi.— J’aimerais qu’il voie ça.— C’est facile, appelle-le si tu veux.— J’en ai bien envie, c’est vrai, ça ne te gêne pas ?— Au contraire, ça me plairait bien te t’enculer devant lui, rien que pour voir sa tête.— Je l’appelle alors ?— Vas-y, dis-lui de venir. Mon cœur sursauta quand elle cria mon nom pour réclamer ma présence, j’avais tout entendu, je savais qu’elle allait le faire, mais je n’ai pu m’empêcher de bondir. Que faire ? Qui avait vécu une situation si scabreuse ? Ma femme et son amant se vautraient dans notre lit, j’étais royalement cocufié, et maintenant voilà qu’ils m’appelaient pour que j’assiste à leurs ébats. Que faire, écouter mon amour-propre et garder un semblant de fierté en ignorant l’invitation, ou ravaler ma dignité et courir aux ordres de ma salope de femme. Jalousie, désir, humiliation, soumission, honte, colère, tout cela m’envahissait en même temps. Maria m’appela de nouveau, et mes pas me conduisirent au pied du lit. Tout était désormais scellé, elle avait gagné la bataille, je n’avais plus qu’à me soumettre en cocu vaincu. La chienne victorieuse jubilait, toujours à quatre pattes, la queue de son amant dans son cul. Elle me pria de me déshabiller et s’amusa de ma douloureuse érection. Gardant l’initiative, elle se dégagea de la queue qu’elle débarrassa du préservatif. Madame dicta ses volontés : — Maintenant Philippe, tu vas m’enculer devant mon mari. Prends-moi doucement, mais va jusqu’au bout.— À tes ordres, ma belle.— Et toi, Bernard, je vois ...
    ... que tu bandes comme un âne en rut. Ça te plaît que je sois une salope, hein ?— Je bande, je n’y peux rien.— Alors, approche, viens profiter de la salope, je vais te sucer pendant que Philippe m’encule. Chacun se positionna pour exécuter ses ordres, l’amant la reprit par derrière tandis le mari était à l’agonie avec une langue de salope qui se jouait de son désir. Mon épouse ne protesta pas une seule fois tandis que Philippe forçait son anus, elle relevait juste la tête en se pinçant les lèvres. Je n’en croyais pas mes yeux, ma Maria offrait son cul à son amant dont la queue pistonnait inexorablement ce petit trou si sacré. Pénétrée par les deux extrémités de son intestin, elle soupirait, gémissait en relâchant mon sexe qu’elle essayait de sucer ; la femelle me connaissait trop bien, elle avait le pouvoir de me faire jouir en deux temps trois mouvements, mais savourait la torture qu’elle m’infligeait. Elle demanda bientôt : — Bernard, mon chéri, je voudrais que tu me manges le minou, tu veux bien ?— Comme tu veux, mais je ne sais pas comment.— Ne t’inquiète pas, mets-toi sur le dos et passe sous moi, on va se mettre en soixante-neuf. Je m’exécutai et enfouis bientôt la langue dans une grotte ruisselante. J’essayai de coordonner mes efforts avec les secousses de l’amant qui travaillait l’arrière-train, je trouvai la solution en laissant ma langue aller et venir au gré des mouvements du bassin de notre chérie commune. J’éprouvais un plaisir masochiste en léchant le sexe ouvert, ...
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