1. Cocu, vous avez dit cocu ?


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, intermast, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, cocucont,

    ... occuper. D’ailleurs, regarde, tes petits nichons sont moins rancuniers que toi, ils se redressent tant qu’ils peuvent pour réclamer des caresses, les mignons.— J’aime me les faire caresser.— Bravo, c’est mieux. Embrasse-moi pour me prouver que tu me pardonnes.— Bon, d’accord.— Comment pourrait-on résister à une bouche pareille ! J’adore ta petite langue de vicieuse. Et cette belle chatte ? On dirait qu’elle a envie d’un gros câlin, la mignonne. Tu devrais penser à t’épiler complètement, tu serais encore plus bandante avec le minou tout lisse.— Occupe-toi de ma minette, tu l’as négligée trop longtemps !— Écarte les cuisses, je vais commencer par te la manger.— Hum ! Ta langue me fait du bien. Et tes doigts qui me branlent, c’est très bon aussi. Tu devrais te tourner dans l’autre sens pour que je m’occupe de toi en même temps.— Tu ne peux plus te passer de ma queue, on dirait.— Je savais que j’aimais la queue, d’ailleurs je te l’avais dit, mais je ne me serais crue capable de faire des cochonneries pareilles. Au fond, je dois être vraiment une salope ! C’est ça, je suis une salope et je ne le savais pas. J’aime trop ta grosse bite et tes couilles, et j’aime aussi celles de mon mari. Peut-être que je les aime toutes après tout. C’est grisant de tenir un homme par les couilles. Autant la bite est dure, autant les couilles paraissent douces et fragiles. J’aime les tenir dans la main, les palper pour les faire bouger, les lécher, et aussi, et surtout les vider. Vous savez quoi, ...
    ... j’ai envie de vous sucer tous les deux ensemble. Bernard, viens, toi aussi, je vais m’occuper de toi. Maria était aussi à l’aise que j’étais mal à l’aise, accroupie devant nous, elle s’amusait avec nos glands, empoignait et malaxait nos bourses, pompait tour à tour nos queues renaissantes. Philippe était debout devant le lit, moi-même j’étais à genoux dessus, chacun de nous jouissait à la fois du spectacle et des caresses prodiguées. L’amant maîtrisait mieux la situation que le mari, il s’amusait à lui promener sa queue sur le visage pendant qu’elle suçait la mienne, lui mettait dans les oreilles, agaçait ses narines jusqu’à qu’elle la reprenne dans sa bouche : — Aimes-tu mes petits coups de langue ?— C’est très bon, fais-moi ce que tu veux. Tu peux encore me sucer la queue si tu veux, ça me fera bander plus vite, tu verras.— Je suce bien ?— Tu es très douée. Tout à l’heure devant ton mari, tu m’as fait la meilleure pipe de ma vie. Excuse-moi Bernard, mais c’est la vérité, ta femme est vraiment une sacrée affaire au pieu.— C’est la vérité, tu as raison. Il a suffi de gratter un peu le vernis et sa véritable nature de cochonne est remontée à la surface.— Et vous, vous êtes deux mâles en rut ! Il suffit de vous sucer un peu pour vous faire bander comme des ânes. Regardez vos bites, elles sont déjà dures.— Avec toi, même un mort ne débanderait pas de la journée.— Vous savez que vos queues ont un goût différent ?— C’est très bien comme ça, tu pourras nous reconnaître rien qu’en nous ...
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