1. Une famille sexuellement débridée (1)


    Datte: 11/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Je suis bien obligé de commencer cette histoire après mon 18ème anniversaire. Je ne pourrai donc pas raconter comment peu à peu je me suis rendu compte que mes parents avaient une vie sexuelle très... "riche". Je crois que je m’y suis fait progressivement sans que rien ne me choque. C’est quand j’ai compris comment cela se passait dans des familles dites normales que j’ai réalisé que notre maison n’était qu’un baisodrome. Mais il n’y a que dernièrement que la libido de mes parents m’est apparue sous l’angle de la plus complète débauche, débauche fort contagieuse et aux aspects les plus inattendus. Mes parents sont encore jeunes, ils se sont mariés très tôt. Papa a 43 ans, maman 40 et ma grande sœur Patricia 21. Il n’y a que neuf mois d’écart entre elle et mon frère Gilles qui sont de la même année et moi j’ai juste un an de moins que mon frère, donc 20 ans dans quelques semaines. Papa est conducteur d’engins. Il n’est pas grand mais très baraqué. Il a une calvitie précoce mais autrement il a le poil très noir. Maman est légèrement plus petite, 1,70m, mais encore très belle. Elle fait attention à sa ligne car elle est vendeuse dans une grande enseigne de fringues. Elle a une paire de seins qui, à défaut d’être très gros, quoique de taille respectable (je ne saurais pas en dire plus) sont très ronds et proposent une gorge serrée et attirante dès qu’un décolleté peut la mettre en valeur. Entendre mes parents faire l’amour m’a toujours rassuré car je suis content qu’ils s’aiment ...
    ... comme au premier jour. Enfin, ils baisent plus qu’ils ne font l’amour, c’est plus sauvage que sentimental. Ils forniquent hard et très souvent. La maison n’est pas grande mais nous avons chacun notre chambre à l’étage, le rez-de-chaussée étant constitué de l’entrée, du garage et d’un vaste sous-sol. Les cloisons sont peu épaisses. On entend tout tout tout. Il faudrait d’ailleurs être sourd pour ne pas profiter des orgasmes de Valérie (c’est maman vous l’avez bien compris, Valoche pour les intimes, balloches pour mon père quand le désir le submerge et qu’il le manifeste par ce jeu de mots qu’il trouve irrésistible) tellement ils sont démonstratifs. Quand nous étions plus petits, ils descendaient souvent tirer leur coup en bas mais les bruits assourdis nous parvenaient quand même. Ma chambre est face à la leur et maintenant qu’ils nous savent tous au fait des choses de l’amour et du sexe, ils ne descendent plus. Je suis aux premières loges. Papa ne fait pas non plus dans la discrétion : pendant l’amour sa logorrhée est sonore et très répétitive. Il jure, il gueule, il éructe à tel point qu’il m’est arrivé, rentrant tard de l’entendre depuis le portail du jardin. — T’aimes ça hein, t’aimes la queue salope ! Bouffe-moi la bite, suce cochonne, suce ! Tu la sens bien là hein, t’en veux encore du manche sale pute ? Ces insultes au départ me consternaient avant de comprendre que, plus qu’un jeu, elles sont une expression profonde de leur passion réciproque. La chambre de ma sœur est ...
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