La nièce
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
... formée sous la couette. Mais la forme des lèvres s’y dessinait d’une telle manière que l’image se fixa sur sa rétine. — On verra. C’est des concours…— Et… le reste ? Ta vie avec ta tante ?— Je l’ai assez peu vue finalement. Je suis arrivé tard le premier jour. Le lendemain, elle est revenue tard du travail. Et hier soir… Elle eut une infime hésitation dans la voix, quelque chose de trop court pour affirmer avec certitude qu’elle avait calculé ses derniers mots, mais suffisant pour le penser quand même : — … vous étiez là.— Ah ! Oui… Je suis désolé, je ne savais pas que tu étais ici. J’aurais décalé ma visite.— Vous vous voyez souvent avec ma tante ?— Aussi souvent que nous le pouvons. Ta tante est une femme très libre, elle a besoin de beaucoup de temps pour elle. Et moi aussi, j’ai mon travail.— Vous faites quoi ?— Je suis trieur à La Poste.— Depuis longtemps ?— Depuis plus de trente ans ! J’ai passé toute ma carrière là-bas.— Ça vous plaît ?— Oui. Ça n’a pas toujours été simple, mais j’ai commencé très tôt et je ne vois pas trop ce que je pourrais faire d’autre. Je ne suis pas quelqu’un d’aussi cultivé que ta tante et puis j’ai des petites ambitions. Une vie simple me suffit.— Vous avez raison ! Elle s’étira sur le fauteuil en se laissant aller en arrière. Plus que ses seins qui réapparurent à cette occasion, Jean-Michel fut irrésistiblement attiré par ses aisselles. Pourquoi ? Il aurait bien été incapable de l’expliquer. Mais il y avait dans leur douceur apparente, sans ...
... trace d’un seul poil, un côté terriblement érotique. Sa bosse sous la couette redoubla de volume, l’obligeant à replier légèrement ses genoux pour la dissimuler. — Il ne faut pas avoir trop d’ambitions dans la vie, ajouta-t-elle en posant à nouveau son regard sur lui. Si je m’écoutais, je laisserais tomber ces concours.— Pourquoi les passes-tu alors ?— Parce que je suis douée,… scolairement parlant, précisa-t-elle. À quoi bon le notifier ? Il l’avait bien compris ! — Et puis il paraît qu’après ça, je trouverais toujours du boulot, où que j’aille.— Alors il faut que tu en profites. Si j’avais eu la chance d’être aussi bon que toi à l’école… Il s’interrompit. Qu’allait-il dire ? Non, bien sûr que non. Sa vie simple lui convenait parfaitement. — Oui ? demanda-t-elle, suspendue à la fin de sa phrase.— Rien. Je me disais que non, en fait, ça m’emmerderait autant qu’à toi ! Elle rit. C’était presque aussi merveilleux de la voir rire que de la voir boire du café. Elle avait un rire… clair. Et ses magnifiques yeux vert émeraude pétillaient de joie de vivre. Réussir à la faire rire lui enleva comme un poids, même s’il l’avait commis de manière tout à fait involontaire. Il parvint à reprendre un petit peu de son aplomb ordinaire. Suffisamment en tous les cas pour déclarer : — En fait, je ne comprends pas ta tante. Je serais incapable de donner des cours comme elle donne, sur la littérature et tout ça. Ça me rend d’autant plus admiratif. À chaque fois que je la vois, je me dis : en quoi ...