1. La nièce


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, Oral pénétratio, fsodo, exercice,

    ... vraiment. Quel gâchis ! ne put-il s’empêcher de penser. — Tu es plutôt romantique ? Tu préfères vivre une histoire d’amour ?— Pas vraiment, non plus. En fait, je me suis toujours assez peu intéressée aux garçons… et aux filles aussi ! s’empressa-t-elle d’ajouter. J’ai toujours été très scolaire et seule l’école m’intéressait.— Alors que moi, ce serait tout l’inverse ! s’exclama-t-il en riant, pour détendre l’atmosphère. Il se rendit compte trop tard du sens qu’on pouvait donner à sa phrase. Bien qu’elle n’ait pas semblé relever sa maladresse, il crut bon de rectifier : — Mais ça ne veut pas dire que je suis obsédé par les femmes. Je voulais dire… Enfin, c’était par rapport à l’école…— Oui, j’avais compris ! le rassura-t-elle en souriant. Mais vous êtes quand même quelqu’un… d’expérience.— J’en ai un peu, effectivement.— Beaucoup même, si j’en crois les gémissements de ma tante hier. Elle avait décidément le don pour le déstabiliser. Il vira de nouveau au rouge pivoine. — Tu… Tu nous as entendus ? Je suis désolé…— Ne le soyez pas. Je n’arrivais pas à dormir. Ça m’a donné une distraction.— Ça a dû être gênant…— Mais non, je vous assure. Dites-moi, vous pensez que vous l’avez fait jouir ?— Pardon ?— Ma tante. Vous croyez que vous l’avez fait jouir ?— Je ne sais pas… Enfin, oui… Je crois, oui… Au moins une fois…— C’était à chaque fois qu’elle faisait comme une sorte de râle ?— Je suppose…— Alors ce n’était pas qu’une fois.— Peut-être. En fait, parfois, les femmes peuvent ...
    ... simuler.— Oui, ça, je le sais… Elle eut une moue amère. — Je crois bien que mon copain ne m’a jamais fait jouir. Ça ne m’a jamais posé de problème, en fait, mais en entendant ma tante hier, je crois bien que, à moi, ça ne m’est jamais arrivé. Écouter parler cette étrange et néanmoins sublime créature de jouissance, nue sous une couette, en face de ses formes voluptueuses et de sa petite culotte où se dessinait le détail de ses lèvres était définitivement l’expérience la plus incroyable qu’il n’ait jamais vécue de sa vie très ordinaire. Par quel ressort du hasard avait-il pu se trouver dans cette situation, qui le conduisait à deviser de sexe comme autour d’un thé avec une jeune femme de dix-neuf ans sa cadette ? — Je pense que si tu avais joui, tu le saurais, affirma-t-il doctement. Sa réponse la laissa pensive, quelques instants. Ses magnifiques yeux clairs ne le regardaient plus, son regard perdu dans les replis de la couette, tandis qu’elle se caressait machinalement ses tibias. Pour mettre fin au silence troublant qui s’était installé, Jean-Michel demanda : — Tu ne m’as toujours pas dit comment tu sais ce qu’éprouve ta tante pour moi ? Elle revint doucement à elle et retrouva son sourire malicieux de tout à l’heure. — Oui, c’est vrai. C’est grâce à ses carnets.— Quels carnets ?— Les carnets dans lesquels elle écrit. Jusque là, rien de surprenant pour une prof de littérature et écrivaine, qu’il avait souvent vu écrire fiévreusement après une de leurs soirées de baise, motivée, ...
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