1. La nièce


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, Oral pénétratio, fsodo, exercice,

    ... lourd. Il s’empara de ses clés sur le guéridon à l’entrée, juste à côté d’une feuille jaune qui attira son attention. Il y était écrit en gros le mot « CONCOURS » et, dessous, une série de dates. Il chercha machinalement celle de ce jour et la trouva : — 8 h 30-12 h 30, salle Pierre Bourdieu . Il garda quelques secondes la feuille en main pour la relire, une boule au ventre délicieusement douloureuse. Si ce n’était pas un message clair, qu’était-ce ? Jean-Michel, il est temps pour toi de saisir ta chance.Toute ta vie, tu t’es dit que tu ne valais pas grand-chose.Toute ta vie, tu t’es fait écraser.Tu t’es forgé cette carapace de muscles pour te rassurer, mais, au fond de toi, tu es toujours le mari dépouillé par ta première femme, l’époux cocufié par ta seconde.Tu as trouvé Christiane, mais peut-être n’était-ce que pour vivre l’ivresse de cet instant ?Pose cette feuille et vas-y.Tente ta chance.Tu l’as amplement mérité.Tu es quelqu’un de gentil.Elles l’ont dit. Il était arrivé, sans vraiment savoir comment, devant la porte, entrouverte, de la chambre d’Anaïs. Il la poussa doucement. À côté du lit défait, un sac d’affaires en boule, mélange de chemises, pantalons, culottes et chaussettes. Un peu plus loin, devant la fenêtre d’où irradiaient les rayons de soleil, la silhouette pulpeuse de la jeune femme. Les bras le long du corps, sa longue chevelure tombant en cascade sur ses omoplates, elle regardait dehors, dans le vague. Elle portait toujours sa culotte, qui, en marchant, ...
    ... s’était un peu retranchée dans la jonction de ses fesses. Son gilet de laine recouvrait toujours son dos, laissant une épaule nue. Le cœur battant, il marcha vers elle. Elle ne pouvait que l’avoir entendu et, pourtant, elle ne se retourna pas. Il aurait pu dire un mot, mais il savait qu’il romprait le charme. Alors il posa simplement sa main sur l’épaule dénudée. Il sentit un frisson parcourir Anaïs, mais celle-ci resta clouée, dos à lui, tournée résolument vers l’extérieur. Il déposa un baiser sur l’épaule et remonta tout doucement le long du cou. Pendant ce temps, sa main descendait le long du bras, pour mieux remonter ensuite sur le flanc, sous le gilet, jusqu’à son sein, qu’il prit tendrement dans le creux de sa main. Alors, seulement, elle poussa un soupir et laissa aller sa tête sur le côté. Elle avait, il le devinait, les paupières mi-closes pendant que son autre main la prenait par une hanche pour remonter à son tour vers l’autre sein. Anaïs se cambra légèrement et ses fesses touchèrent sa verge gonflée. Jean-Michel prit plus fermement les seins, en même temps qu’il lui picorait le cou de baisers. Il avança son bassin pour mieux lui faire sentir à quel point il la désirait. Alors l’une de ses mains descendit le long du ventre pour plonger sous la culotte et y chercher son sexe déjà humide, pour ne pas dire trempé. Elle gémit. La force de Jean-Michel, il le savait à présent, c’était d’avoir toujours été à l’écoute de ses partenaires. Il sentait au moindre frémissement de ...
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