1. Période d’essai – Chapitre II


    Datte: 12/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je m’appelle Marie-Jo. J’ai obtenu un premier emploi aussitôt mes études terminées. En attendant ma première paie il m’a fallu loger dans un hôtel bon marché situé dans un quartier chaud du centre ville de Marseille. Dans l’épisode précédent, je fais connaissance du gérant de l’hôtel. Bientôt rejoint par son réceptionniste les deux hommes essayent de profiter de moi. *** Contre toute attente, Monsieur Messaoudi n’insiste pas davantage pour se faire sucer, pourtant depuis le début de la séance, je me laisse faire. Il m’arrive de contester les ordres donnés, mais je ne proteste que faiblement. Alors, mon manque de réaction et vite perçu comme un assentiment et tout s’enchaîne. Quelle aubaine ! Humilier et dégrader une « mignonne petite intello » française qui au fond ne demande que ça, ces deux là n’en espéraient pas tant ! Les deux compères ont très vite compris ma nature de soumise qui aime être avilie tout en ne voulant pas se l’avouer. Ils m’ordonnent maintenant de me déshabiller complètement devant eux, ne gardant que mon porte-jarretelles et mes bas. Je m’exécute, je sens la chaleur m’envahir, je ne peux empêcher mes joues de se colorer; mais ce n’est pas tout, en inclinant ma tête je réalise que le haut de mon buste est maintenant aussi parsemé de rougeurs. Les deux hommes me le font remarquer en riant. Ils savent que je suis excitée et cela ajoute encore à mon trouble. Ils se sont confortablement installés sur le ...
    ... canapé, slip baisé, pantalons aux chevilles, ils ont gardé leur tricot de peau qui découvre leur ventre. Ils sont très poilus et j’ai honte de reconnaître cela mais la vision de leur gros gland rouge foncé qui émerge de cette forêt de poils bien noirs me fait frémir et je ressens très nettement, par vagues, des ondes de plaisir me parcourir. Je ne peux rien y faire. La scène est incroyablement perverse. Ces deux vicieux me regardent maintenant baisser puis enlever ma petite culotte, ils parlent et je ne comprends pas ce qu’ils disent mais je n’ai pas de mal à l’imaginer car régulièrement ils me montrent leurs grosses queues. J’entends le mot salope à plusieurs reprises. Une fois nue, je dois marcher pendant plusieurs minutes à quatre pattes en faisant balancer mes nichons puis avancer comme un crabe, bras et jambes tendus. Cela est très éprouvant. Ils m’obligent à sortie de la chambre et à arpenter ainsi le couloir de l’étage de long en large. J’ai terriblement peur qu’une porte s’ouvre ou de croiser un client de l’hôtel. Tout en me regardant aller et venir, ils ont repris leurs commentaires et parlent entre eux. Je comprends quelques termes qui sont très humiliants pour moi. Après m’avoir traitée une nouvelle fois de salope, l’un d’eux me demandent tout de go, si je suce et avale. Je fais celle qui n’a pas entendu ou n’a pas bien compris, mais ils insistent. Je réponds que je n’ai jamais fait cela et que je trouve la chose dégoûtante et dégradante. Ils m’expliquent alors que ...
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