1. Période d’essai – Chapitre II


    Datte: 12/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... équilibre sur les épaules, les jambes bien écartées, je dois lever mon cul blanc en l’air le plus haut possible. D’abord allongée sur le lit, puis, sur le sol. La série « jambes écartées» me permet de découvrir de nombreuses postures acrobatiques inédites, ils appellent ça : « jambes en O », « jambes en V », « jambes en W »,…Je comprends maintenant la raison de toutes ces photos : ils vont m’exhiber contre mon grés. Tous ces clichés vont enrichir leur collection sur site. Et pour en terminer avec les séries (j’ai honte de le dire) Monsieur Messaoudi me fait même me déplacer en laisse avec un martinet dans le derrière. Ensuite viennent les fessées. - Ma petite Marie-Jo, ton logeur va maintenant te donner la fessée cul nul. Puis il ajoute : Tu t’y attendais ? Allez répond. Vite ! Je ne sais trop que dire si ce n’est un petit oui à peine audible. - Oui qui ? - Oui Monsieur. - Et tu sais pourquoi ? - Euh et bien…. - Non ? Alors répète après moi «parce que j’ai été très vilaine…» - J’ai été très vilaine. - Et aussi salope ! Allez répète « j’ai été une vilaine salope allumeuse » J’ai vraiment hâte que cet échange s’arrête, je baisse la tête et me tournant vers la caméra : - Oui, je me rends compte que je mérite une bonne fessée car je me suis conduite comme une vilaine salope vicieuse devant deux messieurs respectables. En regardant la vidéo, j’ai peine à croire que c’est moi qui vient de dire cela. La séance fessée se passe dans des positions, là encore, extrêmement humiliantes ...
    ... et pénibles. En particulier, ils me font agenouiller tout au bord d’un meuble bas, je suis en équilibre et je dois tendre les bras pour prendre appui sur le sol. Cette posture est sans aucun doute la plus éprouvante de toutes celles que je n’ai jamais eu l’occasion d’essayer. En fait la position est en elle-même une punition. En ayant mon derrière projeté en l’air de cette façon je suis excessivement exposée et vulnérable au martinet. Je ne peux rien faire pour éviter les lanières, si ce n’est bouger mon cul de gauche à droite, ce qui les amuse beaucoup. Une fois les fesses bien rouges ces salauds recommencent à me faire sortir cul nul de la chambre. La première fois je n’ai qu’un soutien-gorge sur moi et les suivantes je n’ai que des bas. Je me sens couverte de honte, les joues toutes empourprées, j’ai le visage aussi rouge que les fesses. Abdel est le plus vicieux, il bande très fort et se régale à me fesser. Cela est très humiliant pour moi, penser que ce jeune prétentieux pervers me domine ainsi. Mais en même temps je ne peux m’empêcher de mouiller. Il m’insulte grossièrement. Le jeune garçon qui doit bien avoir cinq ou six ans de moins que moi a compris tout le parti qu’il peut tirer de la situation. Pas encore dix huit ans mais il a de l’imagination le petit salaud, il va m’en demander un maximum et je sais déjà qu’il va tout montrer à ses copains de lycée pour se faire mousser. Déjà c’est lui qui a insisté pour que je garde mes bas et qui a eu l’idée pour les crachats. ...