1. La reine de Lautrec


    Datte: 12/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, jardin, école, voyage, voiture, amour, Masturbation Oral pénétratio, champagne, yeuxbandés, fouetfesse, humour,

    Universitaire de formation, j’ai aujourd’hui presque trente ans. Célibataire convaincu, je suis d’une taille assez grande, avec des cheveux châtains coupés court et des yeux bleus mêlés de traces de vert.Dans la vie j’ai plusieurs grandes passions : les sciences, l’histoire, les voyages, les grandes balades à pied, sans oublier les discussions autour d’un verre où l’on peut facilement refaire le monde. Il faut bien sûr y ajouter les femmes, de tous types, de tous âges, de toutes origines, de toutes professions, de toutes confessions… pourvu qu’elles soient belles, sensuelles… et accessibles. D’une manière générale, je les préfère plutôt quadras, cultivées, décidées, et sur le plan physique avec un peu plus qu’un peu moins.D’un point de vue professionnel, je travaille depuis presque cinq ans dans un grand groupe lié à l’aéronautique, en tant qu’ingénieur de contrôle « assurance-qualité » itinérant. Mon rôle consiste à débarquer quasiment à l’improviste dans un service ou chez un sous-traitant pour vérifier la conformité aux règles internes : des procédures, des documents et de la programmation.Je vérifie dans les faits beaucoup plus les formes que le fond, dans des missions « flash » d’une durée de trois à quatre jours sur site… quand il n’y a pas de problèmes. Avant de quitter l’hôtel, Mélanie et moi passons en coup de vent par la salle du petit déjeuner. Un grand bol de café et un croissant font l’affaire. Il est sept heures très précisément et nous montons dans ma ...
    ... voiture de location pour aller à Lautrec. Dans la voiture nous nous parlons peu. Il est visible que Mélanie manque de sommeil, tout comme moi d’ailleurs. En me tournant vers Mélanie, j’ai un gros regret : qu’elle porte un pantalon : — Avec ta manière de t’habiller, je ne peux même pas caresser tes cuisses, lui dis-je sur un ton fataliste.— Tant mieux, car tu dois t’occuper de la route, réplique-t-elle aussi sec.— Eh bien, si tu le prends sur ce ton… Après une bonne demi-heure de route, Mélanie téléphone à sa mère pour lui raconter une partie de la soirée d’hier et pour lui dire que je vais m’installer avec elle dans sa chambre. D’après les propos qu’elle tient, je sens qu’elle a l’air d’être très intime avec sa mère : — Tu racontes tout à ta mère ? lui demandé-je, étonné.— Non, pas tout, mais beaucoup. Ma mère est très compréhensive, beaucoup plus que mon père.— Ils se sont connus jeunes, je crois ?— Ma mère, oui, elle avait à peine dix-sept ans ; mais mon père, il était un peu plus âgé que toi, me répond-elle avec beaucoup de spontanéité.— Ça frise le détournement de mineure.— Tu exagères, à dix-sept ans on est une vraie femme. Moi, j’avais un copain depuis longtemps. Je retrouve la Mélanie sûre d’elle qui m’a affirmé hier qu’elle avait vingt ans, alors qu’elle n’en a que dix-huit plus un mois. Bien que je ne connaisse pas cette fille depuis longtemps, bien qu’elle semble très décidée et bien qu’elle sache partir à l’attaque quand il faut, elle ne doit pas avoir une expérience ...
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