La reine de Lautrec
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
jardin,
école,
voyage,
voiture,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
champagne,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
... existe depuis longtemps, il est du siècle dernier… du début du siècle dernier. Nous montons dans la chambre qui est en fait un immense studio. L’ensemble a beaucoup de cachet. Le chien reste sur le petit palier : — Je ne le fais pas rentrer, me déclare Mélanie, sinon il met des poils partout. J’explique à Mélanie que je regarderai l’ensemble en détail ce soir, mais pas maintenant car il se fait tard et que je vais bientôt partir travailler. — Tu n’as même pas le temps de m’embrasser dans ma chambre ! s’insurge Mélanie.— Bien sûr que si, je ne suis pas un goujat. Nous ne sommes plus dans une chambre d’hôtel, mais dans la chambre de Mélanie. La différence se voit tout de suite : avant, elle était mon invitée, et maintenant je suis le sien. Je jette un coup d’œil de précaution sur mon téléphone ; il n’est que huit heures dix. On a pris notre petit déjeuner en moins d’un quart d’heure. À force de se presser, on finit par être en avance. Comme il me faut une vingtaine de minutes pour aller à l’usine, il me reste une demi-heure pour faire quelque chose d’un peu élaboré avec Mélanie, ce qui n’est déjà pas si mal. Par jeu, je vais essayer de déstabiliser quelque peu ma belle agricultrice. Depuis qu’elle est chez elle, et dans sa chambre en particulier, elle me paraît beaucoup trop sûre d’elle, voire beaucoup trop arrogante : — Avant de t’embrasser, j’aimerais jeter un coup d’œil sur tes cuisses et sur tes fesses, dis-je sur un ton volontairement autoritaire.— Mais pourquoi tu me dis ...
... ça ?— Pour que tu enlèves ton pantalon et ta petite culotte.— Tu veux faire l’amour avant de partir ? me demande-t-elle un peu innocemment.— Tu es beaucoup trop curieuse, tu verras bien. Mélanie ne sait pas très bien sur quel pied danser. Elle défait ses chaussures, puis enlève son pantalon un peu gauchement. Après l’avoir posé sur une chaise, elle me demande avec la même innocence : — Tu ne veux pas que j’enlève ma chemisette aussi ? Et je réponds très sèchement : — Si, mets tes seins à l’air s’il te plaît ! Pour je rajoute de suite après : — C’est vrai qu’ils valent aussi un bon coup d’œil. Une fois Mélanie entièrement déshabillée, je continue mon petit jeu et lui intime sur un ton toujours très ferme : — Ta chemisette, tu me la donnes s’il te plaît !— Mais pour quoi faire ?— Approche-toi, tu verras. Je commence à être très satisfait de moi. Avec sa chemisette, je lui bande les yeux. Déstabiliser Mélanie dans sa propre chambre est un vrai régal. Je ne la touche pas, je ne l’embrasse pas. Au bout de quelques secondes qui doivent lui paraître une éternité, elle me demande : — Tu veux me faire mal ?— Tiens, ce n’est pas une mauvaise idée. Mélanie semble surprise par ma réponse, c’est pourquoi je poursuis en lui disant : — Je vais te donner une bonne claque sur chacune de tes fesses.— Mais pas trop fort s’il te plaît, me répond-elle avec une certaine inquiétude. J’aime bien le « s’il te plaît » : il fait partie de l’ambiance. Je m’approche de Mélanie le visage rayonnant, un peu ...