La reine de Lautrec
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
jardin,
école,
voyage,
voiture,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
champagne,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
... fait.— Ne te vante pas, Mélanie, je jugerai sur pièces. Quelques secondes plus tard, je me retrouve face au chien qui est assis devant la porte. Visiblement, il ne fait pas partie de ceux qui laissent rentrer mais ne laissent plus sortir, sinon Mélanie m’aurait prévenu. Je peux donc quitter la ferme en toute tranquillité. J’arrive vers neuf heures à l’usine de Castres, ce qui est l’heure habituelle des informaticiens. Mais là, je constate qu’à cette heure-là, l’usine est en pleine activité, et visiblement depuis longtemps. Je me dirige vers le bureau du patron. Je le salue et lui fais un rapide état des lieux. Je lui précise que d’une manière générale tout est en conformité. Je n’ai jusqu’à présent découvert que deux « manquements » très mineurs qui peuvent être réglés sur place en deux jours environ. Il me donne son accord sans problème ; je vais donc passer le long week-end du 14 juillet dans la région. Je parle au patron de mon heure d’arrivée qui, bien qu’habituelle dans de nombreux secteurs, ne semble pas correspondre à ce qui se fait ici. Il me répond que les ouvrières travaillent de 7 h 30 à 11 h 30 et de 12 h 30 à 16 h 30, car elles sont nombreuses à participer aux travaux agricoles après leur travail en usine. La maîtrise et les cadres arrivent un peu plus tôt pour ouvrir l’atelier et lancer les machines, et partent un quart d’heure plus tard, le temps de fermer l’atelier. Quand il y a des problèmes, du travail en retard ou la présence de visiteurs, ils quittent ...
... l’usine vers 18 h. Comprenant immédiatement que je suis une gêne avec mes horaires parisiens, j’annonce au patron que dès demain je me mettrai aux horaires de tout le monde et que je serai là à 7 h 30. C’est à moi de me mettre aux habitudes de l’usine et non l’inverse. Le patron est ravi. Il n’avait pas osé me le demander, car je ne suis pas hiérarchiquement parlant dépendant de lui. Il pourra reprendre ses habitudes. Je lui déclare aussi que j’habite désormais à Lautrec dans un gîte rural fort sympathique et non plus à l’hôtel à Castelnaudary, car cette ville est trop éloignée de Castres. Avec mon nouveau système, je gagne une heure et demie de temps de transport. La matinée se déroule à l’identique de l’après-midi d’hier. Mes investigations « qualité » ne donnent rien, ou plutôt elles montrent que l’usine est très bien tenue. Je mets quand même de côté tous les « manquements » mineurs que je peux rencontrer, pour les utiliser au cas où. La région est jolie, les villes et les villages sont jolis, le climat est agréable, on mange bien, et les femmes ont l’accent et sont fort sympathiques. Être prévoyant est une conduite de vie. Mais tout ceci, je ne vais pas le crier sur tous les toits. Un peu avant midi, le patron m’indique qu’il ne pourra pas manger avec moi, mais qu’il a confié cette tâche à son épouse Bernadette. Depuis que je travaille dans ce groupe industriel et que j’exerce mes missions de contrôle, c’est la première fois qu’un chef d’établissement ne déjeune pas avec ...