Betty refait surface
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
... une adolescente à son premier rendez-vous, leurs langues s’emmêlaient, des doigts la fouillaient, elle se sentait incroyablement humide, sa culotte devait être trempée. Quelle honte ! Il la masturba un long moment tandis que son autre main caressait fiévreusement sa poitrine. Leurs attouchements furent malheureusement interrompus quand un grand gardien noir fit irruption près de la porte. Elle n’eut que le temps de se rafistoler. La séance était presque terminée, les lumières se rallumèrent et tout le monde se leva. Lorsqu’ils passèrent près du géant noir, celui-ci lui jeta un clin d’œil complice, lui donnant la honte de sa vie. Il l’avait vue se faire peloter. Heureusement qu’elle habitait à plus de 50 km, elle n’aurait peut-être pas le loisir de sitôt de le rencontrer. Ils marchaient côte à côte. Il l’avait saisie par les épaules malgré son embonpoint et elle s’était laissée faire. Ils devaient former un couple bien étrange, lui le gringalet et elle l’hippopotame de service. - J’aimerais que vous veniez boire un verre à mon hôtel. Cela la choqua un peu. Sitôt emballée, sitôt baisée, elle eut l’impression de passer pour une pute. Elle fut sur le point de refuser mais finalement l’envie fut la plus forte. Elle avait effectivement envie de se faire baiser. L’hôtesse d’accueil de l’hôtel les regarda passer avec un rictus ironique, elle était en train de bavasser avec un petit serveur. Elle était entre deux âges tout comme eux deux mais elle présentait bien et restait ...
... filiforme. Le serveur était lui, pour ainsi dire, pas complètement fini. Les regards des deux femmes se croisèrent et Betty perçut ce que l’autre pensait : « Que ce devait être une femme facile, une Marie Couche-toi-là, et qu’elle devait offrir son cul au premier venu pour obtenir un peu d’amour ». Tous les deux avaient l’air de la trouver vulgaire et grotesque, c’est certain. D’ailleurs, la plupart des gens trouvent les grosses femmes vulgaires ! Perturbée par tout ça, quand Olivier tenta de la caresser dans l’ascenseur, elle repoussa ses avances. Ce n’est que dans la chaleur de la chambre, une fois la porte refermée qu’elle daigna de nouveau se faire tripoter. Olivier tint absolument à commander une bouteille de champagne. Elle trouva ça vulgaire et déplacé et eut cette fois carrément l’impression d’être une pute, ce qui ne l’empêcha pas de le laisser la trousser et culbuter sur le lit. Sa chatte était incroyablement humide et son clito tout gonflé. Déjà une fois dans le cinéma elle avait été au bord de l’orgasme. Mais cette fois-ci, dans l’intimité de la chambrette, c’était encore pire, elle se sentait fontaine. Qu’importait après tout de passer pour une pute ! Elle avait envie de jouir, de se faire baiser. Olivier l’avait culbutée sur le lit et largement troussée, puis il s’était employé à retirer sa large culotte de coton blanc, dévoilant ainsi sa touffe de poil épaisse. Bien longtemps qu’elle ne s’était pas épilée. Une fois la culotte retirée, il lui montra et lui fit sentir. ...