Betty refait surface
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
... des hommes l’aurait trouvée moche et peu ragoûtante alors que lui semblait émerveillé par cette horreur. Elle accepta de se triturer les seins devant lui, elle accepta de caresser son clito, elle accepta même d’écarter ses fesses pour lui montrer son petit trou. Et à chaque fois il la dévorait des yeux, complètement fasciné. On venait de frapper à la porte, ça a rompu le charme. Immédiatement elle a plongé sous les draps tandis qu’Olivier allait ouvrir. Il ne lui laissa même pas le temps de se retourner. Pire, il fit entrer le serveur dans la chambrette. Celui-ci en la voyant sous les draps eut de la peine à dissimuler un sourire moqueur. Et, quand elle réalisé que tous ses vêtements traînaient épars sur le lit ou sur la chaise, à commencer par sa grande culotte jaunie qui trônait sur la chaise… Le serveur n’en perdait pas une miette, intérieurement il était hilare, cela se sentait. - Vous n’avez qu’à poser ça sur la table de nuit. Il s’approcha, il était tout près d’elle et il prenait volontairement son temps. Lorsqu’elle le vit sournoisement passer sa langue sur ses lèvres avec un air de dire « Tu dois être une sacrée salope toi », elle faillit mourir sur place. Finalement, il se redressa. Mais alors qu’il allait partir, olivier le retint. - Je n’ai malheureusement pas de pourboire à vous donner, mais je peux vous montrer ma femme si vous avez envie. NON ! Pas ça ! Mais, Olivier s’était approché et fermement il écarta le drap d’un geste brusque, elle n’eut pas le temps ...
... de l’en empêcher et se retrouva donc entièrement nue devant le regard hilare du serveur. Elle chercha bien à se cacher, les seins, la chatte avec ses mains, mais ses petites mains ne pouvaient tout couvrir et le serveur s’en donnait à cœur joie. Elle préféra fermer les yeux pour oublier toute la honte qu’elle éprouvait. Elle ne les rouvrit que lorsqu’elle entendit la porte se refermer. - Salaud ! Ordure ! Tu m’as humiliée. Elle était fermement décidée à se rhabiller et à s’en aller. Mais avec une assurance déroutante, Olivier lui rétorqua : - Je suis avec une femme ravissante, c’est normal que j’ai envie de la montrer. Elle s’était redressée et commençait déjà à remettre son soutien-gorge. - T’es dégueulasse surtout. Je suis sure qu’ils sont en train de se foutre de moi en bas. D’ailleurs ce soir tous les clients seront au courant. - Et alors, c’est important ? Qu’est-ce que ça peut faire ? L’important c’est pas qu’à moi tu me plaises et que j’ai envie de toi comme un malade. On ne peut pas plaire à tout le monde, c’est impossible et il faut apprendre à se foutre du qu’en dira-t-on. Il s’était approché d’elle et dégrafait déjà le soutien-gorge qu’elle venait de remettre. Sa bouche posée sur son épaule, il la grignotait. Contre toute attente, elle ne savait plus trop bien pourquoi elle voulait partir, ni d’ailleurs si elle voulait partir. Et puis le contact d’Olivier sur sa peau… tout ça l’électrisait, ses doigts et sa bouche. Elle aurait dû lui dire non, s’en aller mais elle ...