Le chef d'escale de Toulouse s'appelle Loana
Datte: 13/08/2021,
Catégories:
ff,
douche,
... semaine et deux samedis par mois. Il y a des cours de mécanique, de résistance des matériaux, des cours de présentation du marché aéronautique. Des domaines très éclectiques, qui permettraient à un bon bricoleur de construire un avion, et à sa copine hôtesse de l’air, de monter une compagnie aérienne. Les élèves ont droit à 25% d’absentéisme pour les cours de semaine, et 10% pour les cours de week-end, pour tenir compte des occupations de chacun. Je l’interroge sur le type des participants : moyenne d’âge un peu au-dessus de trente ans avec 5-7 ans d’expérience professionnelle. Apparemment tout ce qui compte dans le domaine aéronautique envoie ici ses jeunes pousses. Je reconnais sur la liste de références le sigle de notre client et de quelques équipementiers que je connais. Reste la question du prix. Le directeur m’annonce 20 000 € par an… Suis-je censée payer cela moi-même ? Même avec ma nouvelle rémunération, cela ferait un sérieux trou dans mon budget. Je prends alors les transports en commun pour me rendre dans le centre, j’ai rendez-vous à quatorze heures dans une agence. Déjeuner sur une terrasse à l’ombre, celles au soleil sont intenables, promenade dans les petites rues autour de la place du Capitole. Je commence à me sentir bien dans cette ville, et je me dis que je n’aurai pas trop de mal à quitter Paris, sa grisaille et ses râleurs permanents. De ma terrasse, je regarde les passants, et de plus en plus les filles, en ayant parfois des pensées un peu lubriques. ...
... Il y a définitivement quelque chose de changé dans mes envies. Il me semble que vivre dans une ville où les filles sont aussi sexy, ne nuira pas à ma nouvelle libido. Les hommes sans doute un peu plus quelconques, et certainement ceux qui se la jouent « macho du Sud ». Il me semble reconnaître Loana, que j’appelle. Elle me rejoint à ma table. Les trois bises que je lui donne me permettent d’admirer ses seins, et je me demande s’ils sont vrais. — Salut Loana, tu as le temps de t’asseoir ?— Bonjour Coralie, quelques minutes, mais pas tellement plus, je dois retourner au bureau.— Je suis désolée pour les bises, mais on a le même âge, et puis Toulouse n’est pas Paris.— Non, non, tout va bien. J’avais déjà envie de t’en donner hier, mais il y avait ton patron. Sans qu’on en soit plus loin, je me dis que j’aurais des chances de mettre cette fille dans mon lit. Incroyable ce que j’ai changé. — Loana, j’ai une question. D’où vient ton prénom ?— C’est un prénom italien, ma mère vient de là-bas, mais mon père est de Valencia.— Tu parles ces deux langues ?— Oui très bien, ainsi que l’anglais, j’ai fait des études de traduction. Malheureusement j’ai dû les interrompre.— Tu as toujours habité Toulouse ?— Non j’ai grandi dans une petite ville à 100 km d’ici, et puis je suis venue m’installer ici pour les études, je m’y suis mariée, et j’y suis encore.— Tu es mariée ?— Divorcée maintenant, et sans enfants. Mon mariage a été un vrai naufrage. On s’est mariés trop tôt. Je suis seule depuis ...