1. Le chef d'escale de Toulouse s'appelle Loana


    Datte: 13/08/2021, Catégories: ff, douche,

    ... recherche de mon « clone » a été lancée en urgence par André. Je vois Capucine un soir brièvement qui me confirme que le boulot est conforme à la description qu’elle en a reçue. Ce sera assez intense pour elle jusqu’à mi-juillet et d’ailleurs elle sera partie une grosse partie du week-end en repérage et préparation à 100 km de Paris. Je vois bien qu’elle serait preneuse d’une autre séance dans un hôtel borgne, mais cela ne me fait pas trop envie à ce moment-là, car trop rapide. Je suis contente de voir que je parviens encore à contrôler ma libido. Je passe le samedi à travailler, ce que je choisis de faire au bureau. Dimanche, repos, lecture et farniente et autre promenade avec Sandra. Nous allons jusque Versailles, pour marcher longuement le long du Grand Canal. Je n’apprends rien de plus sur le grand secret, et nous parlons architecture, ce qui réveille Sandra. Elle me parle des grands anciens, et de la conception beaucoup plus humaine qu’ils avaient de l’urbanisme à une époque où le mot n’existait pas encore. Lundi, départ tôt vers Toulouse pour deux jours. Loana m’attend à l’arrivée et m’embrasse comme si on s’était quittées il y a 5 ans. Les bisous sont tactiles. Un peu exagéré, certes, mais j’aime cette convivialité du Sud. Loana porte une robe légère, assez échancrée qui ne cache pas grand-chose de sa lingerie ni de son contenu. Elle est un doux mélange de Monica Belluci et de Penelope Cruz. À moitié espagnole, à moitié italienne. Une bombe, dont on devine qu’elle ...
    ... explose au premier contact. Trajet vers son bureau dans sa voiture, une guimbarde de l’autre siècle, sans air conditionné. La journée sera chaude, très chaude suivant Météo France. Le trajet continue à être tactile, mais sans excès, seulement de temps en temps sa main qui m’effleure la cuisse quand elle change de vitesse, et il faut souvent le faire dans ce trafic du matin, surtout quand on conduit comme Fangio. Il n’est pas dix heures quand nous arrivons à son bureau, dans un assez bel immeuble du centre. Un entresol de 100 m2, assez bas de plafond, dans lequel travaillent 5 à 6 personnes dont le patron, auquel je suis présentée. Café, verre d’eau, et nous voilà parties dans la revue de détail de l’aménagement du bureau. J’indique l’endroit où je m’installerai à partir de septembre, j’ai choisi un coin arrière du plateau. Un espace ouvert avec des séparations pour quatre personnes autour de moi, puis une dizaine de postes de travail dans un concept d’open space, avec une vingtaine de casiers, pour les consultants de passage. Trois salles de réunion, dont une très grande pour 20 personnes avec une table ovale. Enfin cinq bureaux individuels, de tailles variables, pour le management. Nous pourrons faire travailler 20 personnes. Un infographiste nous assiste, et nous montre les nouvelles modifications presque en temps réel. Loana pose quelques questions de détails, auxquelles je réponds pour la plupart, et les autres pour la fin de la semaine. Il fait chaud, très chaud, et le ...