1. Ma voisine Lucie


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fplusag, volupté, hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral

    J’ai passé des moments merveilleux avec ma voisine Lucie. Avec elle, j’ai connu l’amour physique, avec tout ce qu’une femme peut offrir, sans tabous, mais sans violence et sans contrainte. Seules ses jolies combinaisons de nylon et de dentelles étaient prétextes à des petits jeux. Parfois, elle m’obligeait à en revêtir une, mais c’était un peu pour se moquer de mon fétichisme et beaucoup pour me donner du plaisir avec. Elle acceptait ma passion pour ses sous-vêtements, elle les gardait sur elle pour m’exciter et aussi pour profiter de mes caresses à travers les fins tissus et les dentelles. Mais nos seuls vrais jouets, c’étaient nos corps. Rien ne comptait plus que de se donner complètement aux désirs de l’autre, de transpirer de plaisir, de s’abandonner jusqu’à s’endormir, après ce cadeau si généreux de la nature et de l’homme qu’est un orgasme donné au partenaire. En fait, moi je ne savais rien de tout cela, c’est maintenant que je me rends compte que c’est elle qui assouvissait sans doute ses fantasmes : c’était peut-être moi, le jouet. Mais c’était si bon ! Elle n’était pas vraiment jolie, Lucie. Le visage émacié, les cheveux souvent mal coiffés, des vêtements ordinaires sur un corps presque maigre, elle n’attirait vraiment pas l’œil. Mais elle s’en fichait complètement. Et moi aussi. Qu’est-ce qu’elle était belle, quand elle se déshabillait pour moi et qu’elle me regardait avec un air coquin pour guetter mon excitation ! Et que dire, quand elle venait près de moi en ...
    ... passant sa langue mutine sur ses lèvres et qu’elle les collait sur les miennes ! Sa bouche était divine, tendre et fraîche. Même pendant les baisers, elle ne me laissait pas l’initiative. Sa langue, véritable serpent, violait mes lèvres et s’enroulait à la mienne, l’entraînant dans une danse qui pouvait durer une éternité. J’avais rarement le droit d’investir la sienne. Par la suite, lorsqu’elle s’attaquait au reste de mon corps, je ne pouvais plus participer, tellement j’étais obligé de me concentrer, sous peine de me vider de ma semence au bout de quelques secondes. Elle adorait mes tétons, autant que moi les siens. Elle jouait avec jusqu’à qu’ils en deviennent douloureux et que je me mette à gémir. Elle descendait alors vers le nombril où sa langue faisait encore merveille. Elle arrivait à la fine bande de poils qui descendait vers le pubis, elle adorait les pincer entre ses lèvres et les tirer pour me faire sursauter. Et enfin, elle arrivait à l’objet de tous ses désirs. Là, il ne me restait plus qu’à serrer les dents, à penser à autre chose. À cet instant, elle pouvait me faire jouir comme elle voulait, quand elle le déciderait. Elle le faisait parfois, mais toujours en douceur, de manière à ce que je sente venir l’orgasme de très loin. Elle ne pensait alors qu’à moi, elle se concentrait sur son envie profonde de donner du plaisir sans rien demander en échange pour le moment. Sa devise, c’était : « D’abord, chacun pour l’autre; après, ensemble ! ». Elle aimait mon sexe. Il ...
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