1. Ma voisine Lucie


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fplusag, volupté, hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral

    ... n’était pas énorme, juste ce qu’il fallait - disait-elle - pour aller partout sans faire mal. Et elle m’avait tout offert, sans tabou, avec un plaisir partagé qui rendait la jouissance ensemble sans commune mesure, qui procurait un bonheur parfait. Le partage, le vrai ! Sa bouche d’abord, une merveille ! Son geste favori : prendre ma queue à deux mains, poser mon gland sur sa langue, le faire glisser jusqu’au frein et serrer les lèvres juste dessous. Ensuite c’était le ballet fantastique sur ce bout de chair sensible. La langue humide qui glisse, les dents qui font semblant de mordre, l’aspiration avec les joues qui se creusent et enfin le relâchement total, le vit éjecté, abandonné par sa gaine humide et chaude, dans un bruit de ventouse, seulement relié aux lèvres frémissantes par un mince filet de salive translucide. La sensation que j’éprouvais, au moment où elle recommençait son geste me faisait sursauter, soulever mon bassin vers sa tête pour m’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Ses mains sur ma hampe m’en empêchaient. Elle jouait vraiment, alternant les va-et-vient et les pauses, pendant lesquelles elle me regardait en souriant. Pour porter l’estocade, elle avait un moyen infaillible. Elle me laissait ...
    ... envahir sa cavité buccale, tout en enroulant sa langue autour du pieu de chair gonflé. D’une main, elle maintenait ma queue et de l’autre, elle malaxait doucement mes bourses, grattant également le scrotum du bout de son ongle. Nageant littéralement dans le bonheur, j’abandonnais généralement le combat à ce moment-là. Je sentais mon sperme en fusion monter le long de la hampe, la faire gonfler encore plus et éclater dans sa bouche. Généralement, elle n’avalait pas tout de suite, attendant la fin de mes spasmes. C’est quand elle avait retiré ma queue qu’elle se faisait un malin plaisir de me montrer sa bouche pleine de mon nectar blanchâtre, puis de déglutir bruyamment. Mais elle finissait toujours par deux rituels: elle venait m’embrasser pour que je goûte à ma semence et elle venait récupérer du bout de la langue la goutte translucide qui perlait toujours de mon méat rougi. Pour elle, c’était le meilleur ! A ce moment-là, elle venait s’allonger près de moi pour me laisser récupérer de cette merveilleuse jouissance. C’étaient des minutes de plein bonheur. Pas un mot. Pas un geste. Deux corps tendrement enlacés. L’un à la recherche de réconfort après la tempête, l’autre en attente d’une tempête peut-être plus forte. 
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