1977
Datte: 14/11/2017,
Catégories:
Première fois
... reprises, il m’avait pris par la taille, pour se contorsionner à la même cadence que moi. Je sentais ses mains sur ma peau comme s’il n’y avait pas de robe. Je sentais tout mon corps chauffer comme une machine à vapeur. Ma culotte était trempée. Et je pouvais sentir mon clitoris gonfler et durcir… Et les slows arrivèrent…Il m’avait proposé de nous asseoir et je lui avais répondu que je voulais danser avec lui. Il devait y avoir quelque chose de très coquin dans mon regard car il avait changé complètement d’attitude. Il m’avait pris par la main et emmenée au centre de la piste. Beaucoup de couples dansaient, s’embrassaient, se tripotaient… Ils jouaient « Hey, Jude » des Beatles, quand il a posé ses lèvres contre les miennes. Dieux ! J’ai cru que j’allais jouir rien qu’avec ce baiser ! Il me portait presque, tellement nos statures étaient inégales… Il me manquait l’air ! J’ai rien dit quand j’ai senti sa main posée sur mes fesses. Ma tête tournait comme dans un grand manège. Je sentais son sexe dur collé contre ma robe, contre mon bas ventre, contre mon pubis. Il me pelotait le cul et le poussait contre lui, pour se frotter en même temps contre moi… Viens ! Il m’avait dit en me prenant par la main…On a pris la voiture et nous sommes allés vers la plage, à à peine un kilomètre du camping. Il s’est garé et pris une grande serviette de plage du coffre. Tout ça en silence. Tout ça avec mon cœur qui battait la chamade… Nous avons marché quelques mètres jusqu’à trouver une place ...
... discrète entre les dunes. Nous nous sommes couchés sur la serviette. On entendait la musique comme une résonance lointaine et fantasmagorique. La pleine lune, comme un photophore géant, allumait coquinement notre petit coin d’amour. Il m’embrassa à nouveau, mais, cette fois ci, ses mains me caressèrent plus aventurières, plus directes. Une, montait à l’intérieur de mes cuisses légèrement écartées, lentement, très lentement. L’autre, baissait le haut de ma robe pour laisser mes seins à l’air. Au contact de la fraicheur de la brise marine, mes tétons se sont hérissés et j’ai poussé un petit cri de plaisir quand Jürgen m’en avait pincé un. Il m avait demandé si j avais froid et je lui avais répondu que, au contraire, j’avais très chaud, que j’étouffais ! Quelques secondes après, il m’avait aidé à ôter ma robe par-dessus de ma tête…Je n’ai pas compris pourquoi il s’est mis à rigoler et je dois avouer que, au départ, ça m’avait vexé profondément. C’étaient mes seins, qui le faisaient rire ? , me demandais-je. Sa femme était plus grosse que moi et avait une paire de mamelles dignes d’une vache laitière. Mais, non, ce n’était pas du tout ça. Il me dit : tu es poilue sous les bras comme une femme allemande ! Et il s’était mis à me lever les bras et à me tirer les poils qui poussaient sur mes aisselles. Je crois me rappeler que je lui ai demandé si ça le dégoutait mais, en me prenant dans ses bras, il m’avait dit que j’étais tout simplement « parfaite ». Et je lui mis une petite baffe, ...