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    Datte: 14/11/2017, Catégories: Première fois

    ... faisant semblant d’être très fâchée…Pour lui, le temps des mots était fini. Il me poussa doucement sur la serviette et m’ôta la culotte. Il l’approcha à son visage et la huma ostensiblement, émettant des bruits d’approbation. J’étais tétanisée ; d’excitation, certes, mais aussi de peur. J’étais devant cet homme, nue comme un ver de terre, sans savoir quoi dire ni quoi faire. Mes yeux le zieutaient, toujours habillé, avec son jean patte d’éléphant, d’un bleu très délavé, comme ses yeux, avec son sexe qui gonflait à bloc son paquet ; et son t-shirt blanc à l’effigie de Jimmy Hendrix, collé à ses pectoraux et ses biceps de mécanicien chez Volkswagen… Il se mit à genoux entre mes jambes et pencha sa tête vers mon sexe tout en écartant mes cuisses. Ihre muschi ist sehr nass, meine liebe, m’avait dit Jürgen avant d’enfoncer sa langue dans mon vagin…Je connaissais déjà les plaisirs d’un bon cunnilingus. La bouche et la langue de ma chère cousine m’en avaient offert quelques dizaines. Mais, là, c’était différent. C’était la langue d’un homme, un vrai. Un homme que je désirais comme peut le désirer une jeune femelle en chaleur. Alors, quand le bout de sa langue est entré en contacte avec mon petit bouton, je me suis cambrée et j’ai émis un long couinement d’extase… Je venais d’avoir l’orgasme le plus rapide de ma courte expérience sexuelle. Jürgen, surpris, arrêta ses caresses buccales et me regarda d’un air malicieux. Petite, tu es un vrai volcan ! De peur qu’il donne par conclue sa ...
    ... séance de cunni, je me suis pressée de lui prier de continuer, que c’était trop bon. Il s’y était appliqué avec la maitrise et l’expérience de l homme qui sait donner du plaisir à une femme. Sa langue diabolique se promenait lascive par toute mon intimité. Ses mains saisirent mes seins et ses doigts me tortillèrent les mamelons multipliant brutalement mon extase. J’ai cru que j’allais m’évanouir. Un, deux, trois, jusqu’à quatre orgasmes consécutifs. Arrête ! Jürgen, arrête ! Je meurs ! Je lui suppliais presque en pleurant, trempée de sueur, mouillée jusqu’à mes entrailles.Alors, il s’est mis debout. Et sans cesser de me regarder, étendue, ouverte, offerte, soûle de ses caresses, il s’est déshabillé. Complètement. A la lumière tamisée de la lune, il m’avait paru encore plus beau, encore plus fort, encore plus mâle. Mes yeux balayèrent son corps depuis sa chevelure dorée jusqu’à ses cuisses et ses jambes musclées. Il n’avait pas un poil de graisse ni un poil sur sa poitrine. Tout en lui était nerfs et muscles. Et, enfin, je pouvais voir son sexe. Pour mes yeux inexperts, c’était le plus beau et le plus gros fal.lus que l’on puisse imaginer. Il était long, épais et courbé ver le haut comme un cimeterre, avec un gland luisant comme une balle de ping-pong rose enduite de liquide pré-séminale…Evidemment, j’étais loin d’être objective.Il s’était couché à coté de moi. Il me caressa le visage, les cheveux, les seins. Avec beaucoup de tendresse. En me murmurant des mots en allemand que ...
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